J'entends plus ici qu'un Guig gueuler.
Comme le Gruiiiiiggg ! qu'on égorge.
J'entends plus ici que ce cochon désespéré
Cherchant l'amour à caresser le dos
D'un deux ou d'un valet pestiférés...
Dans la tristesse de l'ennui, il est mon seul ami.
J'ai beau lui répéter : Arrêtes, arrêtes !
Il s'arrêtes pas et je lui caresse le visage
De mes larmes ; et il s'arrête jamais...
... De vouloir être le plus beau.
Le cuir de son canard peut bien reluire,
Sa carte est une roulette !
Le bon numéro...
Il finira bien parle tirer !
Tu mappellera, mais...
Trop tard !
Qui écoute les canards
Se plaindre de leur foi trop gras !
Fin, remerciements, solitude de loge,
Nuit d'hotel, parking de zone.
Et demain : villes insipides, canards de fêtes foraines...
Poésies treize à la douzaine.
J't'ai fait ronfler ? J't'ai ennuyé ?
M'en fous ! J'attends ma Zouille
Qui est partie apprendre à me faire jouir
Au delà de l'Himalaya...
En attendant, j'écouterai la La
De la sonnerie-mantra des oubliés...
Zouille, tu revins quand ?