si j'osais....

je m'insurgerais
il est regrettable
voire lamentable
de constater
que certains créent
de creux sujets
sans un seul jet
à apprécier
comment peut-on
là comme un con
téléphoner
mais sans parler!
je suis déçue
déçue déçue.....

camille
ma fille
un brin de fantaisie
une pointe de poésie
un peu de legèreté
de grâce réinventée
magie magie
et mes pensées
ont du génie
sur un plateau garni
amants amis
tout te sera servi
camille
ma fille
laisse le creux
lâche les soucis
la reine
des chauve souris
m'a parlé dans la nuit
pour la danse
des esprits
pour l'espoir
et la magie
car de chimères
sont serties
nos ires
et nos dénis

Cent fois sur le métier Recommencez !!!

Amis de la poésie à vos pieds...

(Salut Psycho et tous les autres anciens de vous retrouver cela fait grand bien )

Seewatch a écrit:

Cent fois sur le métier Recommencez !!!

Amis de la poésie à vos pieds...

(Salut Psycho et tous les autres anciens de vous retrouver cela fait grand bien )

(hey tête de fer coeur de poète !!! quel plaisir)

mille doigts

mille fois sur l'ouvrage
dans ton délire tu seras sage
mille doigts dans l'outrage
les maux passages
d'un autre age

un petit swing
dans les bas fonds
un bath bebop
des entrailles
la danse des ouailles
s'amuse
vaille que vaille

la matrice enclanchée
la déconstruction brisée
foulées aux pieds
aux pieds de nez
d'oreilles bouchées
le verbe renait
le sens disparait

le roi des enfers
m'a serti la tête
et les pieds aux fers
j'attise la fête
des sorcières
et squelettes

oiseau petit
vite attrappe
les miettes de magie
sous tes pattes
sur les pavés de la vie
les traces télépathes

Si j' osais j' irais marcher en Chine sous la fine pluie....

Si j' osais, je gouterais tes pieds,
j' embrasserais ta plaine
et je m' en irais.

emilka a écrit:

je m'insurgerais
il est regrettable
voire lamentable
de constater
que certains créent
de creux sujets
sans un seul jet
à apprécier
comment peut-on
là comme un con
téléphoner
mais sans parler!
je suis déçue
déçue déçue.....

Moi je m'insurge devant le mur du silence
moi qui reste de loin ouvert aux dialogues.
Mon désir vacille puis monte en puissance.
Nos chemins distants pourtant analogues
se disloquent dans cette tenue de suffisance
comme un VRP je vogue le vague à l'âme
en pensant sans arrêt à cette gente dame.

Je te téléphone mais tu ne répond plus
quel horrible outrage aurais-je commis.
Mes mots t'aurient-ils semblé trop crus
pour ne vouloir me répondre en ami.

Amitié ! amitié, gachée ou qui se perd
Invitée de mon cœur je t'ai pourtant offert
les rêves de dessein qui étaient à ma portée
et qui restent réalisables à ta porte et
à la fois insaisissables en matière.

Le bonheur c'est simple comme un coup de fil
je préfèrerais voir tes yeux une dernière fois.
Je ne viens pas m'imposer car je te sais fragile
et qu'il t'appartient à toi et toi seul de faire le bon choix.

Le tien quoi !!!

Entrain de lire dans le train de mes songes
en route pour le val d'Isère je m'interroge
et sais qu'il n'y a jamais eu de mensonges
C'est peut-être pour cela qu'aux règles tu déroges.

Je tire le signal d'alarme situé prés de la vitre
range mes écrits et descend sur les longs rails
je repars car au fond je ne suis qu'un pitre
qui s'agite en vain devant toi tel un épouvantail.

Au pire je te ferais fuir telle la mésange
qui serait apeurée de part mon apparence.
Nous resterons même discrets les anges
séparés ou réunis dans cet univers immense.
A jamais je t'aimerais... Monizzzzzzzzzzz

Lotfi

Si j'osais, je te montrerais les trésors de mon univers
Je t'inviterais à partager mes joies et mes colères
J'irais chercher en toi la lumière
Et pour finir cette prière
J'oserais t'avouer que tu as su me plaire

tests à tû tête j'ai la tête qui s'enpêtre
j'ai le coeur qui s'entête
pirouette cacahuette
je te plumerai...
ce soir je viens d'avoir une révélation:
la solitude rend maniaque
j'ai envie de dire je t'aime
qu'on me le sussure à l'oreille
ou au creux du sein dans un soupir...

clarafish a écrit:

Si j'osais, je te montrerais les trésors de mon univers
Je t'inviterais à partager mes joies et mes colères
J'irais chercher en toi la lumière
Et pour finir cette prière
J'oserais t'avouer que tu as su me plaire

waah

si j'osais,
de vigor et javel pure me munirais
dans le tas, tirerais
la cornemuse, apprendrais.

si j'osais te dire, qu'a chaque fois que tu respire
il y avais cette haleine, aussi fétide qu'une morte baleine
tu t'énerverais et m'engueulerais peut être
si j'osais lui dire qu'a lenvers son slip a des reflets jaune et marron derriere
il m'aurais chier, surement sur la gueule, point je ne sais...

dans la lande
qui s'étouffe
et la forêt
qui s'effondre
la colère
en moi monte
si je pouvais
d'un mot
écraser
la folie des hommes
du toit
du monde
je le crierai
si je pouvais
par mon âme
le massacre
stopper
à la nature
je la donnerai
le futur
m'a tout pris
mais je me souviens
la ville
m'a trahi
mais droit je me tiens
dans la foule
des coeurs brisés
des pieds fourchus
des têtes vidées
des mains crochues

pour Gaïa je danse
pour Gaïa je chante
pour Gaïa je crie
pour Gaïa je vis

Au risque de faire un peu avare
Je ne serai pas très bavard
Je préfère votre compagnie
Pour exprimer ma répartie

Sans plus de ritournelles
Je retourne à l'essentiel

Car si j'ai écrit ce poème
C'est bien pour dire que je vous aime

si j'osais autre que le conditionnel
je serais - passé - pas si simple
car l'après "la" n'aurait plus de raison d'être.
Alors pourquoi des "si" si ce n'est pour l'accord
pour oser pour de vrai, car le faux n'est qu'un prétexte
à ne jamais oser la tentation,
celle qui entrevoit l'irraisonné, l'inconnu.

si j'osais

beau vais






si j'osais

je mourirais !

Pitère, poête trans géniaque

zouille a écrit:

Pitère, poête trans géniaque

ca se prononce pas pitère mais pétere!

j'oserais bien l'alpha B des enrhu B
B sson

B dos

B casse

B gnéééé

B molle

B
zaiiiiiiiiii


B
B

Peter Esteven a écrit:

B
zaiiiiiiiiii


B
B

+1

y a quelques jours josie,


i do it