Des histoires, des images et des histoires.

Pas sur que ce soit le bonne endroit pour poster un sujet comme celui là.

Nous baignons dedans depuis tout petit et jamais nous ne perdons cette capacité à imaginer, à créer des images mentales, sans arrêt.
Voilà, si l'idée vous vient de raconter une histoire sortis tout droit de votre boite à idées cartilagineuse, je serais très heureux de m'en nourrir.




Imaginez un monde où tout s'intègre en harmonie, comme dans vos rêves, c'est un bon début.

je vois.. je vois... le bac.. l'abreuvoir à bêtes dans lequel je plonge la tête de la morue ignarde qui se presse devant moi à me bassiner avec ses conneries dont elle ne pige pas même la moitié du sens.
Je vois... sa petite tête échevelée et méchée dégoulinante me regardant après la première immersion, avec ses yeux ovins, prête à me sauter à la gorge
mais moi j'ai le bras long, si long que cette rallonge la pousse loin de moi et enfin je réentends la musique, Fat Freddy's drop dont la goutte est un délice pour rafraichir ma colère de travailler avec des suffisants... de ces fruits stupides qui se tiennent à la grappe au lieu d'accepter de mûrir grâce au savoir du vigneron... aaaah je vois un bon verre de vin, au large bord, je vois tourner son sang, celui que j'inspire, qui m'inspire. Il est temps de larguer et les boulets et les amarres. La neige est belle, assez pour être le bon décor au délire d'enfant que je suis ce soir à écouter crisser, l'envie de bouleter les cristaux et les balancer sur les mêmes qui seraient aussi à nouveau juste des enfants et enfin on pourrait se marrer

zouille a écrit:

je vois.. je vois... le bac.. l'abreuvoir à bêtes dans lequel je plonge la tête de la morue ignarde qui se presse devant moi à me bassiner avec ses conneries dont elle ne pige pas même la moitié du sens.
Je vois... sa petite tête échevelée et méchée dégoulinante me regardant après la première immersion, avec ses yeux ovins, prête à me sauter à la gorge
mais moi j'ai le bras long, si long que cette rallonge la pousse loin de moi et enfin je réentends la musique, Fat Freddy's drop dont la goutte est un délice pour rafraichir ma colère de travailler avec des suffisants... de ces fruits stupides qui se tiennent à la grappe au lieu d'accepter de mûrir grâce au savoir du vigneron... aaaah je vois un bon verre de vin, au large bord, je vois tourner son sang, celui que j'inspire, qui m'inspire. Il est temps de larguer et les boulets et les amarres. La neige est belle, assez pour être le bon décor au délire d'enfant que je suis ce soir à écouter crisser, l'envie de bouleter les cristaux et les balancer sur les mêmes qui seraient aussi à nouveau juste des enfants et enfin on pourrait se marrer

Un peu comme ma bite.

Yves Ocean a écrit:

zouille a écrit:

je vois.. je vois... le bac.. l'abreuvoir à bêtes dans lequel je plonge la tête de la morue ignarde qui se presse devant moi à me bassiner avec ses conneries dont elle ne pige pas même la moitié du sens.
Je vois... sa petite tête échevelée et méchée dégoulinante me regardant après la première immersion, avec ses yeux ovins, prête à me sauter à la gorge
mais moi j'ai le bras long, si long que cette rallonge la pousse loin de moi et enfin je réentends la musique, Fat Freddy's drop dont la goutte est un délice pour rafraichir ma colère de travailler avec des suffisants... de ces fruits stupides qui se tiennent à la grappe au lieu d'accepter de mûrir grâce au savoir du vigneron... aaaah je vois un bon verre de vin, au large bord, je vois tourner son sang, celui que j'inspire, qui m'inspire. Il est temps de larguer et les boulets et les amarres. La neige est belle, assez pour être le bon décor au délire d'enfant que je suis ce soir à écouter crisser, l'envie de bouleter les cristaux et les balancer sur les mêmes qui seraient aussi à nouveau juste des enfants et enfin on pourrait se marrer

Un peu comme ma bite.

Personne pour souligner une intervention exceptionnelle ?

zouille a écrit:

Yves Ocean a écrit:

Yves Ocean a écrit:

zouille a écrit:

je vois.. je vois... le bac.. l'abreuvoir à bêtes dans lequel je plonge la tête de la morue ignarde qui se presse devant moi à me bassiner avec ses conneries dont elle ne pige pas même la moitié du sens.
Je vois... sa petite tête échevelée et méchée dégoulinante me regardant après la première immersion, avec ses yeux ovins, prête à me sauter à la gorge
mais moi j'ai le bras long, si long que cette rallonge la pousse loin de moi et enfin je réentends la musique, Fat Freddy's drop dont la goutte est un délice pour rafraichir ma colère de travailler avec des suffisants... de ces fruits stupides qui se tiennent à la grappe au lieu d'accepter de mûrir grâce au savoir du vigneron... aaaah je vois un bon verre de vin, au large bord, je vois tourner son sang, celui que j'inspire, qui m'inspire. Il est temps de larguer et les boulets et les amarres. La neige est belle, assez pour être le bon décor au délire d'enfant que je suis ce soir à écouter crisser, l'envie de bouleter les cristaux et les balancer sur les mêmes qui seraient aussi à nouveau juste des enfants et enfin on pourrait se marrer

Un peu comme ma bite.

Personne pour souligner une intervention exceptionnelle ?

intervention exceptionnelle

merci.

Ce jour là, je l'ai trouvé très belle. Pas simplement jolie mais belle. Son élégance n'est pas si remarquable pourtant. Elle est majestueuse, c'est vrai, mais ce n'est pas banale. Son existence est une question que je me suis mainte fois posé. D'où vient elle, si ce n'est d'une étoile dont on reçoit la lumière aujourd'hui malgré la disparition lointaine. Sa discrétion est l'exemple même du silence qu'il est tenu d'avoir lorsqu'un être cher disparait mais dont la vue rassure car le souvenir ne mourra jamais. Cette dame est le baiser de la lumière et du noir absolue. Sa présence aurait pu, l'autre jour, en finir avec mon cœur.

Hier, elle est passé devant moi. Indifférence, le miroir que je suis ne semble pas renvoyer l'ultime reflet d'une réalité éclairée. Je la réfléchie, afin qu'elle puisse voir en moi ce que j'admire chez elle. Mais c'est elle qui me réfléchie. Elle me soumet à la souffrance de l'exposition, je ne suis déjà plus un mystère pour elle.

Tout fout le camps : les gens remuent, ménage, posent et repartent. L'image du rocher solitaire au milieu de l'océan n'est pas adapter ici. Tout bonnement parce que, sans elle, il n'y a plus de mouvement, plus d'immobilisme. La température qui nous ambiance, c'est elle encore qui la fixe, avec un simple regard. Froid, ardent, peu importe. Je ne la laisserai pas reprendre le cours de sa vie sans l'approcher, au moins. Pas sans avoir risqué ma vie à lui déclarée que je l'aime, que personne ne sera en mesure de lui faire un jour du mal. Je suis un éclat de cette planète. Originaire de sa majesté, elle accepte après tout de me saisir à ses cotés.

Cette nuit est la dernière de mes nuits sur Terre.

et tu sais ce qui me dit le mec ?

non ?

quoi ?


tu vas rire mais c'était un mec !!


non !!


si !!!



c'est pas vrai !!







pardon