Un dernier d'accord, mais tous ahh ça non, vraiment non

Ok pour la route

L'invité s'appelle s'il s'entend parler
De son ordre, sa plaintive endormante.
L'accusé est appelé pour interpeler
Si son bourreau laisse sa tête encombrante...

L'excusé s'exclame qu'il n'y a pas lieu d'espèrer,
Lui a déjà tout oublier et se permet de l'écraser.
L'ennuyé fuit la censure autant qu'elle le sert...
S'il faut attendre une révolution, on comptera sur son cerf.

L'amusé finit là où il a l'habitude de commencer...
Au même lieu que la veille sans les cadavres.
L'inspiré s'émeut de sa tendre expiration éventée,
Du moment qu'il ne finit pas avec les autres épaves...

L'anarchiste passe du cri à l'effroi, du rire aux tirs,
Si tenté qu'il ne se soit pas aperçu qu'il était sans cash.
L'hurluberlu se fout bien de qui a raison ou pire,
Si il y a des tords, ils se les partageront sans tâches.

facile diras-tu jeune padawan

l'avantage de passer pour un con est qu'on finit toujours par en devenir .................................plus intelligent

Trop de rimes en -er. Et une faille dans la structure.

flier a écrit:

Ok pour la route

L'invité s'appelle s'il s'entend parler
De son ordre, sa plaintive endormante.
L'accusé est appelé pour interpeler
Si son bourreau laisse sa tête encombrante...

L'excusé s'exclame qu'il n'y a pas lieu d'espèrer,
Lui a déjà tout oublier et se permet de l'écraser.
L'ennuyé fuit la censure autant qu'elle le sert...
S'il faut attendre une révolution, on comptera sur son cerf.

L'amusé finit là où il a l'habitude de commencer...
Au même lieu que la veille sans les cadavres.
L'inspiré s'émeut de sa tendre expiration éventée,
Du moment qu'il ne finit pas avec les autres épaves...

L'anarchiste passe du cri à l'effroi, du rire aux tirs,
Si tenté qu'il ne se soit pas aperçu qu'il était sans cash.
L'hurluberlu se fout bien de qui a raison ou pire,
Si il y a des tords, ils se les partageront sans tâches.

facile diras-tu jeune padawan

l'avantage de passer pour un con est qu'on finit toujours par en devenir .................................plus intelligent

Une fois de plus tu confonds psychanalyse et poésie, instantanéité et facilité.
Ça n'est pas à ton lecteur de faire l’effort de te comprendre mais à toi d'être le plus limpide possible.
Ton texte est pourtant structuré autour d'une (bonne !) idée primale (l'invité, l'accusé, l'excusé, ...) sans que cependant la moindre logique ne s'impose de strophe en strophe... Bref, tu as encore cédé à la facilité. Ne te contente pas de l’admiration maternelle de ta compagne, bordel de merde !

La poésie...




Debout contre la porte...c'est ça qu'elle veulent !

Guig a écrit:

La poésie...
Debout contre la porte...c'est ça qu'elle veulent !

Tu aurais du essayer la poésie, tu s'rais moins amer et moins... puceau

salmo a écrit:

Guig a écrit:

La poésie...
Debout contre la porte...c'est ça qu'elle veulent !

Tu aurais du essayer la poésie, tu s'rais moins amer et moins... puceau

C'en était pas ?

salmo a écrit:

Guig a écrit:

La poésie...
Debout contre la porte...c'est ça qu'elle veulent !

Tu aurais du essayer la poésie, tu s'rais moins amer et moins... puceau

Ca me rappelait juste une question existentielle de Gratouze qui se demandait pourquoi en drague, de redoutables habiles du langages se faisaient souvent coiffer sur le poteau par de simples habiles de la langue...tu ne dois pas être loin de là non ?

Chantal & Steven a écrit:

Trop de rimes en -er. Et une faille dans la structure.

Celle-là je tl'explique:

Cette poésie s'inspire d'un regard sur la phobie de l'espoir. Si une rébellion s'affirme elle terrorise tout autant qu'elle amène à l'action tôt ou tard :

L'invité s'appelle s'il s'entend parler
De son ordre, sa plaintive endormante.
L'accusé est appelé pour interpeler
Si son bourreau laisse sa tête encombrante...

L'excusé s'exclame qu'il n'y a pas lieu d'espérer,
Lui a déjà tout oublié et se permet de l'écraser.
L'ennuyé fuit la censure autant qu'elle le sert...
S'il faut attendre une révolution, on comptera sur son cerf.

L'amusé finit là où il a l'habitude de commencer...
Au même lieu que la veille sans les cadavres.
L'inspiré s'émeut de sa tendre expiration éventée,
Du moment qu'il ne finit pas avec les autres épaves...

L'anarchiste passe du cri à l'effroi, du rire aux tirs,
Si tenté qu'il ne se soit pas aperçu qu'il était sans cash.
L'hurluberlu se fout bien de qui a raison ou pire,
Si il y a des tords, ils se les partageront sans tâches.


Comprenez l'ensemble de cette théorie sur la 1ère et la 3ème strophe et faites de même avec les deux autres et recomprenez le tout une fois mes propos apposés.

On attend un peu







Enfin, on comprend que la fuite inspire aussi ces qq mots et la raison implique l'instant alors vous m'imaginez avec des lignes de fuite convergeant vers le présent et au présent un écran lumineux et ultrasonique et ceci au coeur même de ma trame intra-crânienne.

Des envies quasi-constantes de rêver en continu tout en appréciant le passage de mon âme.

Ces strophes finissent par un hurluberlu ne perdant ni ne gagnant alors que tous les autres utilisent des termes plus restrictifs, émotionnels tirant d'un montant ou de l'autre de la rampe...

Ensuite régalez-vous

j'ai pas dit apprendre par coeur et me le réciter à notre première encollade

bon d'accord mais Dreyfus dans tout ça?

Chantal & Steven a écrit:

Trop de rimes en -er. Et une faille dans la structure.

c'est toi la faille,

Guig a écrit:

salmo a écrit:

Guig a écrit:

La poésie...
Debout contre la porte...c'est ça qu'elle veulent !

Tu aurais du essayer la poésie, tu s'rais moins amer et moins... puceau

Ca me rappelait juste une question existentielle de Gratouze qui se demandait pourquoi en drague, de redoutables habiles du langages se faisaient souvent coiffer sur le poteau par de simples habiles de la langue...tu ne dois pas être loin de là non ?

Je ne te ferai plus de confidences....

Salmo et Chantal, la correction a du gout, ou comment découper en fleischwurst ton topic, avec ou sans moutarde ?

Supreme Musculator a écrit:

Salmo et Chantal, la correction a du gout, ou comment découper en fleischwurst ton topic, avec ou sans moutarde ?

Sorry, Stéroïde-boy. Je préfère la viande bio...

Guig a écrit:

salmo a écrit:

Guig a écrit:

La poésie...
Debout contre la porte...c'est ça qu'elle veulent !

Tu aurais du essayer la poésie, tu s'rais moins amer et moins... puceau

Ca me rappelait juste une question existentielle de Gratouze qui se demandait pourquoi en drague, de redoutables habiles du langages se faisaient souvent coiffer sur le poteau par de simples habiles de la langue...tu ne dois pas être loin de là non ?

Dis camion... Poète, poète...

Merci pour l'explication de texte. Je ne connais pas la poésie et je n'y suis pour l'instant pas sensible, excepté le recueil de Baudelaire Les Fleurs Du Mal. Ici j'ai lu vos tentatives, ça ne m'a pas parlé souvent. Mon poète favori c'est Brigitte Fontaine, voilà le style de Chantal. Et le coup de la rime en -er, c'est de Gainsbourg au sujet de Michel Berger.

Chantal & Steven a écrit:

Merci pour l'explication de texte. Je ne connais pas la poésie et je n'y suis pour l'instant pas sensible, excepté le recueil de Baudelaire Les Fleurs Du Mal. Ici j'ai lu vos tentatives, ça ne m'a pas parlé souvent. Mon poète favori c'est Brigitte Fontaine, voilà le style de Chantal. Et le coup de la rime en -er, c'est de Gainsbourg au sujet de Michel Berger.

je n'avais rien dit sur ta remarque en -er sachant que tu me la rendrais pertinente par la suite...

Pour Fontaine là t'as gagné ta place au soleil avec moi... quand tu veux à Ibiza!!!!

Pour ce qui est de l'écriture quasi-poétique, je ne me revendique absolument pas de quelque façon que ce soit poète... enfin qu'est-ce que la poésie si ce n'est qu'un amas d'émotions partagées distillées par de savants hommes sensibles et touchants.

Par contre en utilisant des combinaisons comme tout un chacun peut lire avec baudelaire, prévert, chateaubriand [...], j'ai su développé ou redéveloppé l'utilisation de ma mémoire cognitive en ne faisant intervenir, lors d'une session écriture quasi-poétique de 3 min, seulement que les idées qui se matérialisent sur l'instant en prenant le minimum de recul.

Et en même temps, je remets à mon goût de l'instant tous les mots oubliés par des passages répétés dans des entreprises où le mot d'ordre est d'écouter son voisin et ce même s'il crève ses boutons et qui bande sans cesse sur la meuf qu'arrête pas de me reluquer et que je baiserai seulement dans un monde où l'on ne distinguera plus les genres... plus d'hommes, plus de femmes..... tous cons

Pour finir je n'y suis ni ne suis dépourvu d'intérêt en venant vous exposer les délires sous ma caboche.

Maintenant que ça plaise ou pas, là je me dois de ne pas intervenir, libre à chacun de comprendre son art... et d'aimer son arbre

salmo a écrit:

flier a écrit:

Ok pour la route

L'invité s'appelle s'il s'entend parler
De son ordre, sa plaintive endormante.
L'accusé est appelé pour interpeler
Si son bourreau laisse sa tête encombrante...

L'excusé s'exclame qu'il n'y a pas lieu d'espèrer,
Lui a déjà tout oublier et se permet de l'écraser.
L'ennuyé fuit la censure autant qu'elle le sert...
S'il faut attendre une révolution, on comptera sur son cerf.

L'amusé finit là où il a l'habitude de commencer...
Au même lieu que la veille sans les cadavres.
L'inspiré s'émeut de sa tendre expiration éventée,
Du moment qu'il ne finit pas avec les autres épaves...

L'anarchiste passe du cri à l'effroi, du rire aux tirs,
Si tenté qu'il ne se soit pas aperçu qu'il était sans cash.
L'hurluberlu se fout bien de qui a raison ou pire,
Si il y a des tords, ils se les partageront sans tâches.

facile diras-tu jeune padawan

l'avantage de passer pour un con est qu'on finit toujours par en devenir .................................plus intelligent

Une fois de plus tu confonds psychanalyse et poésie, instantanéité et facilité.
Ça n'est pas à ton lecteur de faire l’effort de te comprendre mais à toi d'être le plus limpide possible.
Ton texte est pourtant structuré autour d'une (bonne !) idée primale (l'invité, l'accusé, l'excusé, ...) sans que cependant la moindre logique ne s'impose de strophe en strophe... Bref, tu as encore cédé à la facilité. Ne te contente pas de l’admiration maternelle de ta compagne, bordel de merde !

ah, non, aucune admiration maternelle, ça c'est sûr et ça, c'est fait...

ah ça casse hein !!! laver son lynchage en famille c'est bien mais quand y'a des frites avec des vraies patates et que le repas finit par une bonne sieste et des fous rires

moi je trouvais ça bien

zouille a écrit:

moi je trouvais ça bien

Moi aussi...

zouille a écrit:

moi je trouvais ça bien

lequel tu trouves bien : l'appréciation déconventionnée de salmo, l'intervention salvatrice de ma douce ou mon écriture quasi-poétique

peux tu préciser

et je comprends rien à ce que t'as écrit, t'es tu réveillé avec un sac dans le dos eu une bosse un peu plus pesante devant, ou pendant...

m'en fous jdis c'que je veux
Myia elle a capté

zouille a écrit:

m'en fous jdis c'que je veux
Myia elle a capté

en fait nan elle a pas vraiment capté d'où mon questionnement

zouille a écrit:

m'en fous jdis c'que je veux
Myia elle a capté

elle se flailleuriserait pas la petite quce

Ok pour la route, l'âge noir


Son SMS était pourtant clair,
efface moi de ton corps,
efface moi de ton coeur,
je n'ai plus coeur à former notre corps,

du coup je vois noir, mon coeur est couleur fuel,
pas de quoi être Flier,
je coule dans mes déboires,
et broie en noir cette vie un instant tachée de fuel,

Son SMS était pourtant clair,
aime moi,
aime moi,
moi seule,

je t'ai oublié, me suis égaré sur notre route,
une autre que toi vient de me flashé à grande vitesse,
j'ai du obéir, j'ai coupé mon moteur et me suis rangé sur son bas côté,
j'ai pas bronché, me suis laissé faire, son uniforme était celui d'une déesse. (citroen, l'âge noir tout ca quoi )



puis là je bloque.

tampis