flier recto ou flier recto/verso ?

un seul message de sa part et j'en peux plus

elle est où merde zizi

elle m'environne vraiment cette chérie

reprenons qq joutes perso et transcendantes (en tout cas, pour moi et ceux qui suivent l'épopée flyer avec pop-corn, films de bool et putes au travers du canapé... rien n'est définitivement incompatible)

D'une peur surgit un espoir incertain,
D'une joie se détache des frissons meurtris,
D'un vol caractérisé se déclame un cri,
D'un changement d'état se voile enfin.

Pour une prise d'examen, la perte d'ouie,
Pour un mètre mot, l'orientation des sens,
Pour un oui, une flopée d'air en recrudescence,
Pour lui simplement le tout emballé petit...

D'ordinaire étrange, capricieux et volache,
D'épuisement précis et confondant le loin,
D'acharnement détaché d'un lendemain sans tâche,
D'esprit décidé et de médecine retrouvée, de rien.

De la peur où jaillit l'espoir incertain,
Détachant des frissons meurtris,
Et déclamant son sinistre cri,
Il se dévoile enfin.

A l'examen de l'ouïe,
Maître mot de ses sens,
Une flopée d'absence
L'emballe, lui si petit...

D'ordinaire capricieux et volage,
L'épuisement le confond de si loin,
Qu'au sur-lendemain de l'âge,
L'homme-médecine guidera sa main.

[Bernard-Louis Cassiopre, extrait de "Poèmes de mes jours glauques", Ed. Aubanel, 1834]

Moi aussi j'vais écrire un poème

salmo a écrit:

De la peur où jaillit l'espoir incertain,
Détachant des frissons meurtris,
Et déclamant son sinistre cri,
Il se dévoile enfin.

A l'examen de l'ouïe,
Maître mot de ses sens,
Une flopée d'absence
L'emballe, lui si petit...

D'ordinaire capricieux et volage,
L'épuisement le confond de si loin,
Qu'au sur-lendemain de l'âge,
L'homme-médecine guidera sa main.

[Bernard-Louis Cassiopre, extrait de "Poèmes de mes jours glauques", Ed. Aubanel, 1834]

un plagia correct et je dois dire assez proche de ce que je voulais exprimer, après j'essaie d'exprimer pleins de trucs en même temps pour que tout le monde s'y retrouve

Pour les inconditionnels de mon flot (merci de ne pas poster si vous aimez, en vrai jm'en fous, par contre les vôtres m'intéressent vu que j'ai développé ce savoir en loosedé... sinon après on s'en fout)

Riche de battements impromptus,
Frichant les espoirs d'aube céleste,
La dérision appartient à l'inattendu,
La monotonie s'en défend sans cesse.

Construite sur un halo défoncé,
Complétée par l'auréole apprécié,
L'amertume s'abbreuve de sangs,
La torture engage seulement les rangs.

Gardé sur un nuage en feu,
Prisé comme la lampe à huile,
Se meurt l'instant dans le creu
Du rein de celui qui l'a "pile".

Attendu comme l'astre éphémère,
Détendu tel l'arme centenaire,
L'esprit conquérant désapprouve
Ce qu'ils enterrèrent dans une douve.

bon courage salmo s'il te prend de t'essayer

Pour un quid, d'accord?
Pour un puits, combien dedans?
Pour un arbre, combien alors...
Pour un oiseau, chantera-t-il encore!!!

Pour la flamme rejaillira des pages,
Pour cette femme se produira d'efforts,
Pour sa gamme s'enrichira des âges,
Pour un berceau s'illuminera la mort.

Si tu comprends, n'apprends rien de plus,
Si tu perçois, n'attends rien de semblable,
Si tu confonds, n'essaie pas dans l'anus,
Si tu permets, prends le bien palpable.

Quand il l'a su, rien de détonnant,
Quand il l'aura, rien ne sera plus pareil,
Quand il l'aura trouvé, ça plantera au soleil,
Quand il l'aura aimé, reste près du vent.

Soit on l'a dans l'os, soit à l'envers,
Si on le piste, on pourra l'extraire,
Si tu parviens à le dénicher,
Méfies-toi qu'il ne se trouve entier...

Un brin d'artiste pour une pleine poubelle,
Un bel artiste et du phrasé tout de même...
La belle idée d'envoyer la croisette
Se dénuder et s'empêtrer dans l'armure céleste.

Trop select et peu de sélection,
Trop présent et jamais d'absents,
Très pressé d'arriver jusqu'à Lyon,
Que des eaux blessées t'attendant...

Intuitif plus qu'instinctif, le kif
C'est qu'il n'a jamais existé,
Il ne pourra alors rester sur le rift,
Il ne saura alors combien il fait.

je commence seulement à arrêter de me proliférer

le prolifisme ayant atteint un point

où je sais pas

redonnons l'essence d'antan à ce forum, là où la brise roule avec le rêve et où le vice tamise les vertus déplacées.

Soufflée tel l'arbre foudroyé, la vie poursuit,
Prêté tel le gage de bonne volonté, le preule s'en mêle,
Dépourvu d'une telle force créatrice, le rêve permet
Ce que le feu contient, la terre lui reprendra de nuit...

Débouté à Djibouti et rentré tout voile dedans,
Le trépas attend celui qui veut l'entendre,
Attendra jusqu'à ce que le jour se fende
Et que les rennes ne s'attardent pas en plan.

Comme d'autres avant son passage éclair,
Les arbres ont su laisser quelques traces,
Dont l'inconfortable pourriture ne se lasse
Et que l'amertume des temps nouveaux éclaire.

Sans toutes ces contrées infirmes,
Le jour aurait pu en convenir ainsi:
Tu veux jouer, alors assumes ici...
Tu veux grimper, commence par la cime...

Pour toutes les pierres illuminées,
L'eau suinte et lèche les restes humides,
Qui, tel l'anaconda résistant mais perfide,
Se chargent de taille et d'autres aspérités.

Trouvée sous une hutte de bois verni,
La belle est charmée quand le son berce,
Quand la voix se baisse et laisse la nuit
Dans un apparat doré, telle une princesse.

lis le pas en diagonale celui-là

d'accord, z?

Cancrelat des rives bordées déjà par le limon,
Pourfendeur d'une paix qui s'esclaffe
D'une joie qui raye les "établissons..."
De la voilure s'emparant de la nuit,
La crainte de n'appartenir qu'à la "vas-y, luis"
De ne l'avoir entamé juste pour une taf
Pour la voir dans tout l'état, en scin dé
En punk prêt à tout défoncer, en skin head
En principe ils ne nous viennent jamais en aide
Ne viennent toujours que les bravades et accoudés...

hi

Fly-lleurs, tu prends quoi au juste?

Chantal & Steven a écrit:

Moi aussi j'vais écrire un poème

kes t'attend, que je te l'écrive

ok

Définitivement pas valable, l'emballage...
Complètement cintré sur une corde rêche,
La vie d'un petit est loin des grands adages
Aussi loin qu'est une cible toute fraîche.

Eloigné d'ancrages trop pressants,
Troublé par le manque de sens,
Enervé par le trop symbolique
Et par temps orageux, oblique...

Séparé d'un de ses moutons,
Le berger entame sa procession:
Que les pâtures s'embrasent
Pour délivrer de la base.

Impotent malgré ses hautes marches,
Dépoté sur un fleuve dénaturé et sec,
La houle s'écarte quand le lu sans texte,
Le bras s'adroie telle une contre-arche.

j'adore les néologismes et les phrases dénuées de sens

les mots se dévoilent quand on leur ôte toute complexité vaine et toute velléité

pendant que j'y suis

Un mètre mort depuis la superbe,
Une mort pour y vivre, dans la gerbe
D'un bouquet parfumé, j'entends au loin
Que tant qu'il y en aura, l'existera ce brin...

D'une brune sans surprise à la blonde sensuelle,
D'une prise de rein à la position verticale,
D'un sein dévoilé par les ondes formant le ciel,
D'un coup de craie entre les plis, hmmm fatal...

Un arbre centenaire entonnant le chant d'un oiseau
Déclamait jadis ce que serait une nature délivrée :
Méfiez vous du coupeur de bois, le risque est trop haut,
S'il vous enivre de pensées conformées en place rester.

Vous viendra l'envie d'y construire des demeures,
Laisse détruire des champs en jouant avec l'heure...
Vous extirperez-vous d'une nature très efficace,
Comprendrez-vous sa place en dehors de sa chasse.

joli non?

encore dsl de coloniser tel l'homme blanc dans la savane avec un fusil à balles doom-doom

j'essaie de faire un peu de place mais plus j'essaie plus j'en prends

Contenu dans un tronc creux et déboité,
Le plus beau spécimen s'éveille gaiement,
Chantonnant l'air du temps restant
Et modifiant ses pensées en raison, étonné.

Puis s'ensuit la dépression post-mortem,
La répression ne connaîtra pas l'eden...
La pluie efface les traces des malhabiles,
Le vent retrace le plan sur une vaste île.

Les plages bordées de champs pesants,
Les forêts éclairées par de sombres pensants,
Les voies lactées disparaissant sous nos yeux,
Les voix des cieux nous parvenant toujours mieux.

Une aurore pleine de grâce situant les strates,
Une chaîne détourant l'entrave emplie de nitrates,
Une cheminée pleine d'embûche grille l'espace,
Un soleil négligent, à qui on a promis sa masse.

Quand un son se fait rare et attendre,
Il est agréable de pencher une oreille,
Plaisant de partager le silence et celle
Dont la voix portera jusqu'à la prendre.

Le bruit inattendu d'une cloche sans écho
Développera à coup sûr l'ouïe d'une nuit,
Aussi bien qu'admettre, sur un autre fuseau,
Que l'affront serait de lui oublier minuit.

Elle attendait, grelottant parmi ses sœurs,
Qu'ils arrivent pour les introduire ensemble
Chez leur nouveau maître, leurs frayeurs
Leurs peines de n'être que son assemble.

Et la prison venue de si bon matin,
La perte d'autonomie et la déchirure,
La déception de ne rien attendre de demain,
Le désespoir en finissant en pâtures.

si je mettais un titre, je suis sûr que ça vous encouragerait à les lire jusqu'au bout

un titre accrocheur genre "belle d'un moment, belle à jamais", "les fleurs se fanent voyant leur ornement éteint"

finalement jsuis pas si sûr que vous aimez vraiment les lire, enfin vous savez aussi que je suis ici chez moi

au moins sur des topics consacrés à me discipliner

méfliez vous de n'en créer trop à mon égard

D'avenir certainement sain et d'esprit embelli,
La rose s'empourpre et se désire de riches
Et suaves victimes prochainement créées,
De prix éternellement affichés et décriés...
Elle se targue d'apparentes niches
Et tangue si la couleur n'excède pas un cri.

D'un plaisir constant et apparemment fui,
J'exerce sur elle cette fascination
Cette adoration chère à nos tendances.
L'amour contient cette complication
Où le "je t'aime" s'impose sous transe,
Où le rythme définit le jour du "oui"...

Et l'amour connaît cette loi, cet idéal
Le fameux jour est traduit dans un grimoire
Et l'idée de la beauté comprimée en soi...
L'amour ne connaît pas de lois divines
L'extérioriser confond et détruit le mal
Détériore la fleur qui n'a plus soif
Met en abîme la facilité du déboire
Se convainc qu'il n'existe qu'une coquine.

D'une saison soi-disant morte
Naîtra la douce compassion
La douloureuse envie de dire "non"
La tortueuse et non-moins sublime
Façon d'ordonner les cimes
La tentatrice et son cortège de portes.

J'ai dans l'idée de souffler pour voler
L'idée d'aimer à me voir aimer
L'impression que tout existe
Et sinon, ça ne fait rien...
M'apporter la rigueur de l'envolée
Porter la flamme du "tout résiste"
Découvrir un instant enveloppé
Réapprendre à ne pas en faire de foin.

S'approprier cet instant, l’exhausser
Prier de laisser l'instinct réduire
Comme réduisent les consonnes
Quand les voyelles applaudissent
Comme finissent les vies de charme
Si la vie exerce encore son crédit
Si l'amant ne consentit pas au crime
D'avoir désiré brûlé, désir dévoilé
De n'être que par cette fente
Devenu le croissant lunaire
Devenu l'espoir d'y être
Devenu de dieux venus...

Le venus et l'oméga
L'alpha est littoral
L'esprit s'engage
Et le cruel dévore

De rivages assoiffés par l'abîme,
S’enivrent les bateaux sans teint,
Se termine par une sourdine
Le long refrain d'aller loin.

Pour éviter de faire pire,
ils ne sauraient faire mieux,
Ils ne sauraient quoi dire
Si demain encourage d'être deux.

Ces macaques dégénérés,
Par des maladies inventées,
Ces primates instruits,
Aussi avides qu'abrutis.

Lever l'encre et tomber le chagrin,
L'aube d'une renaissance,
L'aurore de la décadescence
Le jour d'exprimer ses communs.

a viva la revoluçion

tu devrais te détendre et faire attention à la grosse page blanche qui risque de débouler dans ton crâne, ne pas tout balancer sur le net même si l'envie de partager est grande, tout conserver dans un petit cahier, te relire, y réfléchir et enfin nous la/les poster.

(oui c'est moi qui écris ça)


sinon comment va depuis notre dernière croisade ???

Flyer....

Tu nous décharge ton brut
A nous prendre pour des putes.
Mais tu nous fourgue ta merde...
... Et rien ne rime avec merde !

Comme tous les fainéants
Tu crois que "travail" tue "talent",
Et tu appelles "actes d'amour"
Tes puérils appels au secours.

Je souhaite que tes psychoses
Au bonheur du dico des rimes
T'emportent à Fontenay-aux-roses,
Ou vers des lauriers-roses,

Au pire à une mononucléose !

Pourvu qu'elle nous épargne une Flyer-overdose...

je préfère les Topics de Napoleon