Automatic

C'est parti pour de l'écriture automatique.

Des lignes et des mots en lignes, en rangs d'oignons, mots bien rangés, bien soignés qui font la queue en tire bouchon. Tous bout à bout, on laisse aller les phrases et lettres, les mots de la tête, le verbe qui coule, les pieds qui roulent.

Laissez glisser toutes ces paroles qui sortent de votre esprit et de retrouvent au bout de vos doigts sur le clavier..........................

Putain d'excellente idée. Vraiment putain de mieux que la poésie moisie.

hpijg l,hgjhùklg,r çèt'"tn tljn'r

ah non, mince, ça, c'est mon chat qui s'amuse à monter sur le clavier

ok je sors => [-|-]

c'est tellement facile de faire des lignes et des lignes et des pages et des pages de conneries sans âges mais c'est tellement bien de lever tous les frein à nos esprits fertiles en jeux de mots futiles en reflexions absurdes mais qu'est ce qu'en pensent les Kurdes?

Evader d' un océan sans froid.
La rumeur d' une balise au loin.
La pierre des saints.
Le papier gras.
Ferme tes yeux.

La beauté d' une forme parfaite,
d' une spirale ou d' un cercle,
l' art de retomber sur ses pieds,
quand tout devient cohérence.

Réver de cette forme parfaite, l' étudier,
la vouloir polymorphe et infidèle,
elle serait déjà autrechose qui glisse entre tes doigts.


Il m' a dit utopiste et puriste,
la seule façon de gôuter notre imperfection,
notre humanité.

ils lancent leur cris barbares mettent des mots vulgaires dans leur bouche pour jouer aux durs aux tatoués pour cacher les pauvres mioches qui pleurent dans leur placard recroquevillés sur eux-mêmes se donnent de l'assurance et reduisent leur pensée à des opinions toutes faites pour masquer leur doutes leur vanité ne dévoile que leur incapacité à enchanter l'instant à saisir la beauté de l'âme âme que les illusions les projections et les frustrations ont dissous dans la virtualisation partielle de leur entendement ragardez ces homoncules qui se voulaient des heros ils ne brillent nulle part et nul ange ne veille plus sur eux

Brunir de ton passé,
et crier de ton appel,
tu es ma maladie chronique.

Vilains vers j'aimerais vous voir sombrer dans un océan vaseux.

Ogres et cannibales.....

Sans détour, là, dans la cour, il me regardait, les yeux tout embrumés, tout ensoleillés par la brise. C'est un moment comme qu'il me faut, un moment fort et plein de sous entendus et de séduction.

Dans les bras d'un inconnu, je me laisserais aller. Il me porterait aux nues, sans me poser de questions ni lorgner les morpions. C'est comme ça que j'aimerais être prise, à la volée, comme une sauvage. Dans les bois nous irons courrir dans les feuilles et les gravas. La pluie nous donnerais toute sa chaleur, son bonhur, sa foi. Une fois encore, il percerait de plein fouet mon ventre et mon coeur, sans se soucier de mes cris et de ma souffance.

Albumine d' aluminium et fer forgé au gré du vent.

Toxique mexicain et ardoise délabrée.

Je tourne et me retourne en mon lit comme ma cervelle tourne 1000 fois
avant que ne tourne à son tour ma langue en sept mouvements. On appele ça de l'insomnie.

Mille et une nuits où j'ai , j'aurais ou aurais eu :

1000 choses essentielles à te dire,
1000 poèmes de 1000 pieds à te lire,
1000 secrets enfouis en mon cœur,
1000 signes de ma route à te décrire,
1000 rêves étranges qui me font peur,
1000 larmes que j'ai contenu et retenu pour les verser un jour à tes pieds,
1000 sourires que j'imagine sous la coupe de tes baisers,
1000 rires de par nos bétîses qui viennent à cruellement me manquer
1000 gestes infimes qui restent non pas millimètrés mais en quantité illimitée...

Je marche seul, pas dans la ville comme Goldman mais dans mon âme cherchant les vagues pour y déposer ma planche et voguer je l'espère vers ma belle négresse blanche. Les notes de musiques constellent cette toile inachevée et moi me réveille décalqué sur la table de chevet. J'enfile mes chaussettes et m'ejecte du lit aux multiples ressorts cassés pour rebondir sur le sol, tapis coco. J'ai beau prendre une dizaine de cafés durant cette matinnée je reste de toi accroc, fatigué et KO.

la signalétique abstraite sans l'être variment, comme une femme qui a du mal à grandir ou une scie sauteuse pour le beurre. il est de ces matériaux incroyables qui se figent en séchant, comme du caparol renversé, au hasard balthazar, tous tes fichiers sont offline. je me lève le matin, je pense à son décolleté, et puis qu'il faudrait que j'envoie ces cv à la con, mais rarement tenaillé par autre chose qu'une envie de pisser; c'est vrai que les protocoles c'est rigolo comme un homme-canon. je dis ça, ça m'a jamais fait rire. peut-être comme de jouer au tennis avec un poussin, alors, et là j'aurai gagné trente millions d'amis supplémentaires, enfin au moins sur myspace, i presume. ça me rappelle l'autre qui, enfant, capturait des lombrics pour les observer se décomposer dans l'eau de javel. virtuel dans le réel. la fenêtre ouverte sur une porte qui donne sur la cage d'escalier du adieu, monde cruel, on se capte ce soir sur msn ou quoi. mais en l'occurence ce sacripan fait un bon mètre quatre-vingt dix, en plus il aime le free jazz, il n'est donc absolument pas adapté au monde moderne, renvoyons-le à l'usine william saurin, pour voirt s'il en sortira du cassoulet kate moss la deuxième fois. superlol, giga mdr et oua ptdr sont dans un bateau, avec jean d'ormesson à la poupe, tout le monde est bien d'accord pour saigner le vioque. je serais eux, j'en ferais autant avec moi-même, et dire que demain je pourrai même plus fumer sur le banc de montage, mais c'est vraiment fou quoi. ouaiche bien ou bien, nonche mal ou mal, bofche moyen ou moyen mec? tu deviens quoi? bin je deviens une merde, j'attends les mouches. mange ta chatte toi même, tu connais la sortie, merci. les processus protocolaires sont demandés chez michel drucker. yeah.

trois minutes quarante

kifeun a écrit:

la signalétique abstraite sans l'être variment, comme une femme qui a du mal à grandir ou une scie sauteuse pour le beurre. il est de ces matériaux incroyables qui se figent en séchant, comme du caparol renversé, au hasard balthazar, tous tes fichiers sont offline. je me lève le matin, je pense à son décolleté, et puis qu'il faudrait que j'envoie ces cv à la con, mais rarement tenaillé par autre chose qu'une envie de pisser; c'est vrai que les protocoles c'est rigolo comme un homme-canon. je dis ça, ça m'a jamais fait rire. peut-être comme de jouer au tennis avec un poussin, alors, et là j'aurai gagné trente millions d'amis supplémentaires, enfin au moins sur myspace, i presume. ça me rappelle l'autre qui, enfant, capturait des lombrics pour les observer se décomposer dans l'eau de javel. virtuel dans le réel. la fenêtre ouverte sur une porte qui donne sur la cage d'escalier du adieu, monde cruel, on se capte ce soir sur msn ou quoi. mais en l'occurence ce sacripan fait un bon mètre quatre-vingt dix, en plus il aime le free jazz, il n'est donc absolument pas adapté au monde moderne, renvoyons-le à l'usine william saurin, pour voirt s'il en sortira du cassoulet kate moss la deuxième fois. superlol, giga mdr et oua ptdr sont dans un bateau, avec jean d'ormesson à la poupe, tout le monde est bien d'accord pour saigner le vioque. je serais eux, j'en ferais autant avec moi-même, et dire que demain je pourrai même plus fumer sur le banc de montage, mais c'est vraiment fou quoi. ouaiche bien ou bien, nonche mal ou mal, bofche moyen ou moyen mec? tu deviens quoi? bin je deviens une merde, j'attends les mouches. mange ta chatte toi même, tu connais la sortie, merci. les processus protocolaires sont demandés chez michel drucker. yeah.

trois minutes quarante

J'adore mec c'est du bon texte comme je les aimes en chaîne enchaînes !!! J'prendrais le flambeau plus tard

Le son dub éclate dans ma tête et les enceintes crachent leurs biles. Ce matin j'ai encore empaillé une mouette et crevé un ballon d'hyppocrisie en faisant un vieux pet moisi à peine sorti du lit. Habillé comme Jules César je suis sorti avec la couette et sans falzar pour aller au turbin sans dégout ni dédain. Dans la caisse j'ai appuyé sur le champ-pignon de vitesse / élevée d'un niveau mais j'ai mangé de ma roue tordue, le rebord du caniveau.
Canigou tout les midi ou jean Kabi bon appétit / bon appéros hier au soir avec les potos. De poteau, j'ai failli en manger un d'ailleurs en rentrant en voiture. Je touche du bois pour ne plus avoir d'accident-Tellements courants de nos jours suffit de se ballader au pieds des tours de ciments pour rencontrer quelques vautours prêt à vous farcir poliment. Je reste poli M'man mais les femmes sont la traitrise incarnée comme mon ongle qui noirci dans cette vieille shoes puante et décousue. Du coup j'suis déçu de voir les nobles attitudes foutre le camps pour des trucs qui ne restent à mes oreilles que tintamarres et boucans. J'mets les bouts quand tout à coup une main m'arrête et me secoue comme un prunier " t'as pas payé ta prune de lundi dernier " Merde je croyais m'en tirer mais pas moyen d'échapper à 16 ans (de) cul laids aussi sourds et cons que des manches à balais. Dimanche j'pourais dormir comme vous tous tas de fainéants !!!Faites pas semblant au pays des fonctionnaires où même la poste marche encore à l'âge de pierre. L'âge de Pierre j'en sais rien, je retiens qu'une date c'est celle de ma belle / et Sébastien qui reste triste d'avoir perdu son chat pour une stupide chienne. C'est la merde une taimp me poursuit elle me colle comme l'oncle benz à son slip ou son riz.
Quant on né paumé on reste paumé mais au moins on le sait on fait pas semblant de connaître son chemin au risque d'induire en erreur les passant et passer au passage pour un charlatan.
Charles attends j'en ai une bien bonne tu te souviens du péllo qui courait les raclis leur grattant tout leur radis tout ce qu'il a pécho aujourd'hui c'est un virus qui lui a valu d'être viré pas du bus mais de son statut de conseillé juridique. Tout ça pour un coup de trique dans une ruelle étriqué.
Trêve de plaisanterie y est déjà 15 heures je fais mine de me replonger dans le boulot en repoussant l'idée de rentrer ce soir au bout du rouleau accroché à un gouleau de bouteille j't'ai dit je ne bois plus donc dégage et ne m'en parles plus !!!... dans l'absolu (no Vodka) vive la vie vive Nova !!!

l'absolu putain de merde le putain de merde bordel fait chier je conchie la réalité les idéaux les idées basses et tout ce pognon qui s'amasse j'en vomirait de ce merdier trop plein le cul de tant lutter pour des concepts merdiques et des désirs à chier... et les chiottes qui fuient et l'assurance rense qui me nuit et l'invisible rmi comme un espoir une grosse merde qu'on me fait bouffer vas chercher tes tickets pour les restos du coeur deviens trockiste offre ton coeur et puis voilà que ta famille te rappelle avec le sourire que tu n'es vraiment qu'une pauvre merde....
ecriture automatique sur un topic radio nova atelier poesie entre gens instruits de la vie
merci

Je constate qu'Emilka à compris ce qu'était l'ecriture automatique. Et, étant donné que c'est pas donné à tout le monde je la congratule. Rutabaga en peau de bouc achalandant des rivières sans lit.

merci liule mais j'ai oublié la télé le foot l'anpe les politiques les interims les hypocrites... les guerres en afriques l'eau polluée l'air suicidaire.... heureusement des airs dérivent à mes oreilles et me ravissent à mon merdier... pour un instant pour un sourire pour une simple pensée positive entre deux cris deux hauts le coeur un infime residu de bonheur comme figure de proue éclaboussée par l'océan défiguré d'un monde qui fonce à la dérive et où l'individu s'enlise dans son ego démesuré
dieu suis-je à ce point seule et paumée? comme tout un chacun... ou bien?

Les porcs en noirs marchent sur paris armés jusqu'aux dents. Bourgeois parfumés tremblez devant l'oriflame crasseux, vos têtes rouleront bientôt comme du mercure sur le parquet vitrifié. Vive la révolution qui fait couler le sang.

...et les fleurs rempliront l'espace de vos orbites vides et abandonnées. Les dalhias, les résédas, les lilas, les pétunias, en vagues déferlantes dans le silence du lierre grimpant la nature reprendra ses droits et dieu reconnaitra les siens. L'hermine danse dans la rosée du matin qui pointe dans les orchidées danse hermine danse hermione contre la pandémie de l'indifférence danse contre ces émotions empaquetées danse contre ces coeurs meutris.

Youplaboum Prosper t’es un as ! même si t’as qu’une pauve mimine toute raide comme une branchette bouton de manchette qui passe comme une lame de rasoir ô mon bavoir glumglumbl je crache du ciel gris comme de la morve cendrée hmm tiens donc un oiseau qui se mouche ? Étrange étrange étrange post-it, ma main est un post-it pour la vie elle écrase une orange comme un ennemi et en tire un bon vieux jus de viande, miam

ça me trou l'cul ... comment gacher son temps a rien foutre

solo a écrit:

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j'ai une solution très simple et gratuite, tu vas trainer ta tronche de papier cul deluxe ailleurs.

Simple et efficace

kifeun a écrit:

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J'aime ton style gadjo!

kifeun a écrit:

solo a écrit:

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... si je veux

amour ardent ventre frémissant vrombissant éclatant de fureur d'humeurs à corps et à cris
hormonalisant hors normes et honnis
amour fustigeant
tracas sans souci surtout sous le vent
pourrir de peur pour du beurre dans les épinards connards et connasses se relaient sans cesse si seulement se fut une science
amour! toi beau diable refais moi l'amour!