Automatic

psykoshaman a écrit:

... et dans ces états contradictoires d'êtres humains ultra complexes et désespérement normaux la transe hypnotique des muons filant dans les infrabasses du beau danube bleu, le spectre de l'imaginaire s'étend sur la toile des vibrations à découvrir... hier insoupçonné, aujourd'hui abandonné cet espace n'en a pas moins le mérite d'être unique et authentique...

Pascal Sevran?

Jmbowie a écrit:

psykoshaman a écrit:

... et dans ces états contradictoires d'êtres humains ultra complexes et désespérement normaux la transe hypnotique des muons filant dans les infrabasses du beau danube bleu, le spectre de l'imaginaire s'étend sur la toile des vibrations à découvrir... hier insoupçonné, aujourd'hui abandonné cet espace n'en a pas moins le mérite d'être unique et authentique...

Pascal Sevran?

Non Juste Navrant.

Je signale un abus. de pouvoir. Pascal ne connait pas la moitié des mots cités ci-dessus.

psykoshaman a écrit:

Jmbowie a écrit:

psykoshaman a écrit:

... et dans ces états contradictoires d'êtres humains ultra complexes et désespérement normaux la transe hypnotique des muons filant dans les infrabasses du beau danube bleu, le spectre de l'imaginaire s'étend sur la toile des vibrations à découvrir... hier insoupçonné, aujourd'hui abandonné cet espace n'en a pas moins le mérite d'être unique et authentique...

Pascal Sevran?

Non Juste Navrant.

Je signale un abus. de pouvoir. Pascal ne connait pas la moitié des mots cités ci-dessus.

J'ai bien recu ton signal d'abus. Malgré tout mes efforts, je n'ai pas réussi à supprimer le compte de cet enfoiré d'admin.

Jmbowie a écrit:

psykoshaman a écrit:

Jmbowie a écrit:

psykoshaman a écrit:

... et dans ces états contradictoires d'êtres humains ultra complexes et désespérement normaux la transe hypnotique des muons filant dans les infrabasses du beau danube bleu, le spectre de l'imaginaire s'étend sur la toile des vibrations à découvrir... hier insoupçonné, aujourd'hui abandonné cet espace n'en a pas moins le mérite d'être unique et authentique...

Pascal Sevran?

Non Juste Navrant.

Je signale un abus. de pouvoir. Pascal ne connait pas la moitié des mots cités ci-dessus.

J'ai bien recu ton signal d'abus. Malgré tout mes efforts, je n'ai pas réussi à supprimer le compte de cet enfoiré d'admin.

Je m'en doutais, la corruption règne en maitre. Pfff on nous prendra tjrs pour des vaches à lait...

psykoshaman a écrit:

... et dans ces états contradictoires d'êtres humains ultra complexes et désespérement normaux la transe hypnotique des muons filant dans les infrabasses du beau danube bleu, le spectre de l'imaginaire s'étend sur la toile des vibrations à découvrir... hier insoupçonné, aujourd'hui abandonné cet espace n'en a pas moins le mérite d'être unique et authentique...

yop la boum un p'tit coup d'boule dans ta grosse tête de noeud!
yop la boum tu m'casse les ovaires j'me casse prendre l'air
tchikaboum ce s'ra une boum trop du tonerre
avec de la chance je me ferai emmenée dans un doux lieu
folle farandole farce de la vie j'evissererais bien ton petit body

j'ai des images plein la bouche qui font des bulles parce que j'ai avalé un savon à prises de vues. je projette en panoramique une succession de postillons, détails qui mis bout à bout racontent un road movie sans film et sans route. Je tenterais bien de scotcher chaque visuel sur la vitre embuée et ensuite j'effacerais du bout du doigt la vapeur de la vitre tout autour du tirage et alors se révèleraient deux plans jusqu'alors orphelins qui raconteraient peut être une drôle d'histoire.

le temps machine. Combien de programmes mal ordonnés, de linge mélangé et décoloré. Ce temps d'attendre, à le tromper, en lisant les histoires des autres qui parfois nous parlent parce qu'étrangement en harmonie avec nos propres ressentis. Ce temps passé à lever les yeux, tournés vers le dehors, à travers une vitrine devant laquelle passent les inconnus de droite à gauche ou de gauche à droite. Ce temps capté de celui des autres le temps de quelques mètres. Ce temps vide ou pré-occupé. Ce temps d'écrire, de cette écriture impeccable là où le mot incisif , comme les agents secrets de la lessive, va attaquer le coeur de la fibre, le résidu qui tâche, le résidu qui noue.

en passant vers là avant d'être ici, je viens dire ici et là que je n'ai absolument rien à dire et que la volonté de le dire est indubitablement lié au fait que je dis probablement tout cela pour oublier que je n'ai rien à dire...








de l'importance de l'oubli...



deux voir deux mémoires...

j'ai la blouse,
le nylon qui me colle le cafard,
le rampant des cuisines, des tuyaux des perdants.
j'ai la blouse,
la combinaison des tubes à essai,
sur le chemin des petits écoliers pour boulimiques.
I got the blouse
the bourdon on the
the mail-encolie des mots roses

la lune sur l’ardoise
l’ardoise sous la nuit
ombre sournoise
qui plume qui luit

elle me déshabille
l’âme en entier
elle roule sa bille
sur mon tablier

plus rien dans moi
tout est parti
ça danse ça aboit
je reste en envie

le vendredi c'est permis
tralalère
de sortir même tard la nuit
tralalère
et même avec n'importe qui
tralalère
mais avant lave bien ton kiki
tralalère










oh c'est bon c'est un atelier !

même bout de l'air, il a du commencé !

zêtes pas prêts pour comprendre !

Je rêve très souvent d'une grosse nuée de minuscules nano-machines Aliens fonçant sur nous un beau matin tel que celui-ci, un matin qui laisse entrevoir un bout de gazon, un coin frais, mais non les Aliens sont là et ont va devoir se battre... peut-être que j'ai un don pour la réalisation de films d'action US et que j'en sais rien d'ailleurs, comment tu peux devenir réalisateur depuis ton PC ou d'un pays autre que Holy-Wood ... Je ne sais pas... d'ailleurs vous non plus. Y a beaucoup potentiel dans les films d'actions, c'est de l'action, qui va t'empêcher de faire péter deux cents immeubles avec des civils dedans si ton film s'appel Guerre de Corée 5 hein.. ? personne, donc oui dans l'action, la réalisation de tels projet ya moy' de faire des pépettes quoi. oui, j'aime beaucoup la SF également, y a un véritable terrain de jeux où tu peux y puiser à volonter.. mouais pas une grane vibe automatic moi.

Un chat pitre s'écrie
un page se tourne
propret face léchée
par le fantôme premier
d'une prose élitiste
qui part agrafer
l'esprit con, court...

souliers fleuris légers et soudain en appui pour ne pas chanceler, hésitant dans un rythme chaotique, un peu en avant, retour en arrière dans un quart de cercle métallique. La petite et ses souliers fleuris. La petite qui s'agrippe en riant à l'autre, la regardant d'en bas en éclats joyeux à la cadence d'un accordéon qui la déséquilibre tantôt à droite, tantard à droite. brusque coup de frein, la voilà projeter sur l'adulte qui lui dit de se tenir. Elle s'en fout, il est super son jeu. Elle est là au milieu, en dessous des grands, elle busboard la petite et je vois entre des jambes ses jolis souliers fleuris. Elle a raison cette petite. Elle s'amuse là dessous les autres et les autres là dessus fermés à la légèreté, oppressés par d'autres, hâtés de descendre à la prochaine station. Je suis cette petite des yeux, je suis cette petite il y a longtemps

automatismes à travailler, comble à vider, l'envie de tout faire a repassé, automatisme de la nuit, lassitude et ennui, automatisme des réparties, envie de repartir, auto matisme elle est pas mal en robe de nuit, comment se placer, comment se diriger, automatisme d'un plaisir cherché, limite nervous breakdown, l'eau a un ami, allo la mie, si ça continue il va pleuver...

Je passe en mode automatique, car automatique est ma vie.
Avançant sans voir, dans un noir couloir où forniquent espoir et déboire, je me démène sans donner de sens à ces choses vaines dans lesquelles je déverse mes envies. Laissant aller, je me remets le pied à l'étrier en recyclant des désirs enfouis sans trop savoir où me mènera ce vice dont je m'accoutume avec un sourire narquois, fier, là ou devrait apparaître des larmes de détresse. Je vis ma vie sans garde-fou, pris du vertige d'Alice, m'élançant dans une arène où m'attendent des reines trancheuses de tête, voire de crête, moi l'iroquois qu'on trimballe pour l'exotisme de sa folie, l'érotisme de son profil, et l'égocentrisme de ses manies. Toujours utile au lit, au cri, à la nuit, je m'use sans retenu pour ne pas voir l'érosion qui entoure mes relations, ces belles personnes qui veulent de moi que je reste le même quand mon instinct appelle au requiem de l'éthique et de la sagesse. Voir en un week-end autant d'anciennes déesses élevées au rang de divinité de leur vivant, dénigrées par le temps, retrouvées à moitié ou totalement, revenantes sans drame pour le moment avant que les armes s'acharnent sur les cadavres de ce qu'on a vécu auparavant. Qu'elle était belle la rataquouère si souriante, si lointaine et si flippante que j'en aurais brulé mes yeux à regarder plus longtemps. Qu'elle était douce la malheureuse, qui m'a suivi jusqu'au domicile qui pourrait devenir son adresse bis, loin de son potager et de son amour effiloché, de ses champs de blés qui rappellent son teint doré et ses cheverux cuivrés.
Je passe en mode automatique, car automatique est ma vie...

tu eus pu préférer passer la marche arrière si j'en lis quelques relents de lendemains plombés.
Que cela ne te distraie pas de presser de temps en temps l'embrayage pour faire jouer la corde sensible, celle d'une possible reprise tout à coup manuelle, ils sont des doigtés qui ne se perdent jamais mais tout de même, ne pas penser qu'une remise en selle à deux roues ou à quatre pattes est une pratique acquise pour toujours

zouille a écrit:

tu eus pu préférer passer la marche arrière si j'en lis quelques relents de lendemains plombés.
Que cela ne te distraie pas de presser de temps en temps l'embrayage pour faire jouer la corde sensible, celle d'une possible reprise tout à coup manuelle, ils sont des doigtés qui ne se perdent jamais mais tout de même, ne pas penser qu'une remise en selle à deux roues ou à quatre pattes est une pratique acquise pour toujours

Rien n'est jamais acquis, toujours les choses bougent les gens changent les positions varient, même l'heure du coucher et du lever finissent par s'écrouler pour reprendre, même l'arbre devient vert pâle puis jaune puis rouge puis piétiné.
Manuellement, je tente de garder le cap, mais j'ai branché le pilote je crois, ma petrite Alma. Lui ne sait pas où il va, mais il est sûr de lui, il file à toute vitesse sans regarder ni à droite ni à gauche, mais juste devant, avec aucun autre objectif que se laisser aller à aller, bien, ou mal !

étrangement ce soir le ciel parisien est orangé et avec la neige encore accrochée par nappe aux toits de zinc, cela donne une atmosphère silencieusement apocalyptique

Heuuuuu.....

salmo a écrit:

Heuuuuu.....

Syndrome du post blanc ?

Evider le vice de la vie. Ne plus lâcher l'instinct camisollé, vu comme la dernière dangerosité. Ne se laisser aller à rien, si ce n'est du rien aseptisé offert sous blister termoformé.

Fragrance rance arrangée, goût dégoutant de toujours se ressembler, bruit si lent comme le silence métronomé, toucher jamais plutôt palper quand t'as gagné, tourner la tête en toute hâte quand la vue semble percer le vrai au milieu du spectacle sans arrêt joué.

S'oublier dans un dédale où même le fil d'ariane porte épine de rosier et barbelés. C'est ça la vie sans instinct, sans envies primaires sans festin, sans gloire simple sans tristesse moite de pleurs, sans cette boule dans le ventre qui accouche quand tu te lâches enfin, sans se mettre nu par pudeur dégueulasse et plus salace que celui qui se déshabille de toute cette fausseté, pauvres hardes qui couvrent l'Homme, et qui l'empêchent de montrer au combien il est fort, et faible, et accompli, quand il laisse le masque aux oubliettes, le costume à l'ensemblier, la vertue et les valeurs et les règles et les lois à l'utopique sainteté.

genou à terre, celui que qui nous définit, ce je, ce nous, se joue, se noue, se déboite pour ne plus articuler, avancer dans la défaite, défait, vaincu.. genou qu'on ne veut pas regarder noueux ou gonflé ou tuméfié de la résonnance d'une irraison... genou qui ne porte plus ce qui se gagne aux dés quand le lancer habile ou malhabile rencontre les cartes truquées.

zouille a écrit:

genou à terre, celui que qui nous définit, ce je, ce nous, se joue, se noue, se déboite pour ne plus articuler, avancer dans la défaite, défait, vaincu.. genou qu'on ne veut pas regarder noueux ou gonflé ou tuméfié de la résonnance d'une irraison... genou qui ne porte plus ce qui se gagne aux dés quand le lancer habile ou malhabile rencontre les cartes truquées.

T'as pensé a la biere ?

Endemic a écrit:

zouille a écrit:

genou à terre, celui que qui nous définit, ce je, ce nous, se joue, se noue, se déboite pour ne plus articuler, avancer dans la défaite, défait, vaincu.. genou qu'on ne veut pas regarder noueux ou gonflé ou tuméfié de la résonnance d'une irraison... genou qui ne porte plus ce qui se gagne aux dés quand le lancer habile ou malhabile rencontre les cartes truquées.

T'as pensé a la biere ?

pire au niveau de la mise en.. bouche

Accordez moi d'être parfois sauvage
Accordez moi sur un diapason insolite
Je serai bohème et affranchie
Vous serez mon repère pour ne pas trop m'écarter,
le phare, guide de mes errances paniquées
Alors je vous reviendrai, rassurée, assurée
de vous re-découvrir toujours, bienveillant et épris

zouille a écrit:

Accordez moi d'être parfois sauvage
Accordez moi sur un diapason insolite
Je serai bohème et affranchie
Vous serez mon repère pour ne pas trop m'écarter,
le phare, guide de mes errances paniquées
Alors je vous reviendrai, rassurée, assurée
de vous re-découvrir toujours, bienveillant et épris

Oui ben rêve pas trop poupoule hein... Parce qu'en ce moment niveau gonzesses, je suis plutôt du genre full overbooking.

ouais ouais pull over booking, le truc qui tire en matant des magazines