A LIRE !

En conséquence de quoi tu gagneras mon admiration et celle de mon chat.

j'aime avoir la larme gracieuse, jaillissant de mes yeux, fatigués de transmettre à mon coeur étreint des vagues confuses d'émotions où je regrette souvent de ne pas être cet écrivain ci qui sait si bien mettre le mot sur notre manque de.

Rhaaaaah! C'est rageant!

Mais les mots d'un auteurs appartiennent à ses lecteurs.

Ok, alors je dois dire qu'actuellement je me régale littéralement à la lecture du dernier Houellebecq. J'ai l'impression que ce bouquin a été écrit pour moi, et que parfois Houellebecq s'est dit, "tiens, je vais mettre ça, ça fera marrer Yvon".
La seule ombre à ce tableau est que je n'ai pas eu le vrai plaisir de la découverte de ce bouquin, tant on en avait déjà parlé auparavant.

Chroniques de San Francisco / Armistead Maupin, 6 tomes qui font pensés dans un sens à notre forum : )

Mega Tron Man a écrit:

Chroniques de San Francisco / Armistead Maupin, 6 tomes qui font pensés dans un sens à notre forum : )

Les coïncidences en moins. Parce qu'ils faut le dire, dans ces bouquins, la seule chose qui manque, c'est la surprise.
Mais sinon bien bien, surtout la vieille propriétaire transsexuelle qui cultive de l'herbe et qui te fait à manger tout en résolvant tes problèmes affectifs après t'avoir quasiment offert un appartement parce qu'elle est très souple sur le loyer.

San-Antonio // Baise ball à la Baule.











Prix Goncourt 2011/2012/2013

si et re si si imperatrice.






Le Point : la parka de Houllebecq ne tient pas bien chaud face aux doudounes du commico San-Antonio.

L'Express: Bang Bang

L'histoire : En 1913, dans une petite ville de garnison autrichienne, Anton Hofmiller, jeune officier de cavalerie, est invité dans le château du riche Kekesfalva. Au cours de la soirée, il invite la fille de son hôte à danser, ignorant qu'elle est paralysée. Désireux de réparer sa "gaffe", Anton, pris de pitié pour l'infirme, multiplie bientôt ses visites. Edith de Kekesfalva cache de plus en plus mal l'amour que lui inspire le bel officier, qui lui ne s'aperçoit de rien, jusqu'au moment où il sera trop tard. Car est dangereuse la pitié "qui n'est en réalité que l'impatience du coeur de se débarrasser le plus vite possible de la pénible émotion qui vous étreint devant la souffrance d'autrui".

Tarken a écrit:

L'histoire : En 1913, dans une petite ville de garnison autrichienne, Anton Hofmiller, jeune officier de cavalerie, est invité dans le château du riche Kekesfalva. Au cours de la soirée, il invite la fille de son hôte à danser, ignorant qu'elle est paralysée. Désireux de réparer sa "gaffe", Anton, pris de pitié pour l'infirme, multiplie bientôt ses visites. Edith de Kekesfalva cache de plus en plus mal l'amour que lui inspire le bel officier, qui lui ne s'aperçoit de rien, jusqu'au moment où il sera trop tard. Car est dangereuse la pitié "qui n'est en réalité que l'impatience du coeur de se débarrasser le plus vite possible de la pénible émotion qui vous étreint devant la souffrance d'autrui".

voila pourquoi j'aime tant San-Antonio

Mega Tron Man a écrit:

voila pourquoi j'aime tant San-Antonio

Tu fais bien de le signaler. Lecture triste à compenser. Alors VOILA :



Si tu meurs pas en rigolant au moins tu apprends que les ours sont plus malicieux qu'on ne le penses. A bon entendeur.

Indignation de Philipp Roth

En 1951, alors que les forces armées américaines sont engagées en Corée, Marcus Messner a 19 ans. C'est un garçon de bonne volonté, sérieux, honnête et droit, sincère et un peu naïf, qui ne rechigne pas à aider son père dans la boucherie kasher familiale. C'est un "bon garçon". Jusqu'au jour où sa vie dérape. Jusqu'au jour où il décide de quitter Newark et sa famille pour poursuivre ses études de droit dans une université du Middle West. En réalité, il veut ainsi échapper à la domination de son père qui, fou d'angoisse à l'idée que son fils unique affronte les périls de l'existence, le surveille constamment et l'étouffe d'un amour paranoïaque. En s'éloignant de ses parents, Marcus veut tenter sa chance dans une Amérique encore inconnue de lui, riche de surprises et de plaisirs, mais aussi pleine d'embûches et de difficultés ...

Un récit d'apprentissage à la fois caustique et grave, les thèmes familiers de l'univers de Philip Roth : la famille juive, les relations filiales difficiles, les tabous religieux, la sexualité, le puritanisme américain ... Un très grand roman.

Landrock a écrit:

Un homme, un vrai de Tom Wolfe.

Dans "Un homme, un vrai", Tom Wolfe dépeint avec méticulosité la société d'Atlanta aux États-Unis, au travers des conflits sociaux, culturels et surtout racistes de cette ville du sud. Avec les destins de plusieurs personnages aux univers différents mais qui dont les chemins vont se croiser.

Un pavé impressionnant (plus de 1000 pages ...), cruel, drôle et impitoyable qui vous tient en haleine des jours d'affilée, Tom Wolfe est un écrivain, un vrai.


Où on va papa ? de Jean-Louis Fournier.

Jean-Louis Fournier nous raconte avec une honnêteté désarmante son histoire de père de deux enfants handicapés. Il nous dit ses regrets, sa jalousie vis a vis des autres parents, ses difficultés ...

Avec beaucoup de pudeur, d'émotion, de tendresse mais également énormément d'humour, l'auteur nous raconte la jeunesse particulière de ses deux garçons handicapés. Un livre touchant et drôle qui ne laisse pas indifferent...

J'ai beaucoup aimé aussi "Où on va papa", un récit très honnête sur les difficultés de l'auteur à aimer ses deux fils handicapés... C'est très courageux de livrer ses sentiments de façon aussi sincère sans chercher enrober la réalité pour ne pas choquer. Du coup, c'est parfois choquant mais c'est parce que c'est pur et vrai.

Mangez_le si vous voulez, de Jean Teulé.


Un roman qui fait froid dans le dos inspiré d'une histoire vraie !!! En 1870, dans un petit village de Dordogne, un noble qui se rend à la fête du village voisin est pris à tort pour un prussien. Rapidement, la rumeur se propage dans le village, les villageois deviennent hystériques et le passent à tabac, le torturent, le brûlent vif et finissent par le dévorer!!

http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_d%27Hautefaye

wahou une fille sur le forum ....

Rainbows End anticipation, écrit par Vernor Vinge, que je viens de commencer et qui tape bien !


Le roman nous introduit à Robert Gu, un homme qui se remet lentement de la maladie d'Alzheimer grâce aux progrès de la technologie médicale. Avec le retour de ses facultés, Robert (qui a toujours été légèrement technophobe) doit s'adapter à un monde très différent, où presque chaque objet est mis en réseau et la technologie de réalité augmentée est monnaie courante. Robert, un ancien poète de renommée mondiale, mais avec une personnalité notoirement mesquin, doit aussi apprendre à changer, afin de rétablir les relations avec sa famille désunie. Dans le même temps, Robert et sa petite-fille Miri sont entraînés dans une intrigue complexe impliquant un agent de renseignement, et une intelligence redoutable (et peut-être surhumaine) caché derrière un avatar d'un lapin anthropomorphe, sans compter des nouvelles technologies menaçant du contrôle mental de la population, avec des profondes implications pour l'humanité.

Wik i/////////////////////////////////:

Les Prédateurs "the hunger" de Whitley Strieber,


http://mesimaginaires.over-blog.com/article-les-predateurs-whitley-strieber-55474499.html

David Bowie de Gilles Verlant,



tout sur bowie

Napoleon a écrit:

David Bowie de Gilles Verlant,



tout sur bowie

Et alors, c'est bien ?

je viens de l'acheter, je vais le lire plus tard j'ai déjà commencé celui de SF.


j'vous le balance sait-on jamais ca peut faire plaisir à quelqu'un.

"En moins bien" de Arnaud Le Guilcher
c'est drôle c'est cynique, c'est mordant ... de la loose en barre au bad trip halluciné

4 étoiles

Entre sublime évocation de la nature, et drame de la nature humaine, on est saisi par le ton humble du narrateur, acteur d'une histoire qu'on découvre au fur et à mesure d'un récit plein et saisissant. Le traitement historique des faits, vu de la simplicité d'un être qui n'en aura que souffert, est remarquable de retenu, mais donne à l'histoire un poids décuplé. L'enchevêtrement de la mémoire, écrite comme une thérapie, donne une profondeur supérieure au personnage principal qu'on accompagne le coeur serré dans ce chemin de croix qu'est l'écriture de son rapport, miroir de sa vie.

à Bruxelles, un Monsieur và fermer son magasin


un temple de la SF qui disparait,



Jmbowie toi qui es sur place je te conseil vivement d'y jetter un Oeil, si c'est pas déjà fait.

c'est du Lourd !!


http://marcfvb.wordpress.com/tag/bruxelles/

VEUF de Jean Louis Fournier,
il constate sans plus de mots que nécessaire.
C'est doux, c'est beau, c'est l'évidence empêtrée des maladroits et la franchise tranchante des mal-à-gauche

extrait
"Je lui avais dit un jour que l'altruisme était une maladie mentale, je l'avais lu. Elle s'étonnait que je commence mes phrases par Je, j'ai été obligé de lui dire que grammaticalement j'étais la première personne, donc je devais mettre le pronom personnel à la première personne. Spontanément je pensais à moi, spontanément elle pensait aux autres"

Je viens juste de le commencer, mais d'après les 50 premières pages "Portnoy et son complexe" de Philip Roth vaut le détour. J'essaierai de vous mettre un passage si j'ai le temps. Vous allez voir c'est gratiné.

Yves Ocean a écrit:

Je viens juste de le commencer, mais d'après les 50 premières pages "Portnoy et son complexe" de Philip Roth vaut le détour. J'essaierai de vous mettre un passage si j'ai le temps. Vous allez voir c'est gratiné.

avé du gruyère alors hein

Yves Ocean a écrit:

Je viens juste de le commencer, mais d'après les 50 premières pages "Portnoy et son complexe" de Philip Roth vaut le détour. J'essaierai de vous mettre un passage si j'ai le temps. Vous allez voir c'est gratiné.

Génial ce bouquin ...

Limonov n’est pas un personnage de fiction. Il existe. Je le connais. Il a été voyou en Ukraine ; idole de l’underground soviétique sous Brejnev ; clochard, puis valet de chambre d’un milliardaire à Manhattan ; écrivain branché à Paris ; soldat perdu dans les guerres des Balkans ; et maintenant, dans l’immense bordel de l’après-communisme en Russie, vieux chef charismatique d’un parti de jeunes desperados. Lui-même se voit comme un héros, on peut le considérer comme un salaud : je suspends pour ma part mon jugement. C’est une vie dangereuse, ambiguë : un vrai roman d’aventures. C’est aussi, je crois, une vie qui raconte quelque chose. Pas seulement sur lui, Limonov, pas seulement sur la Russie, mais sur notre histoire à tous depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.


Un roman captivant où on suit avec passion les pérégrinations de l'anti-héros qu'est Edouard Limonov et qui nous permet de traverser l'histoire de l'URSS puis de la Russie de la seconde guerre mondiale à nos jours ...

Landrock a écrit:

Yves Ocean a écrit:

Je viens juste de le commencer, mais d'après les 50 premières pages "Portnoy et son complexe" de Philip Roth vaut le détour. J'essaierai de vous mettre un passage si j'ai le temps. Vous allez voir c'est gratiné.

Génial ce bouquin ...

Par moment, on a carrément l'impression de lire la biographie de DSK.