cher mon Zézèbe et Voltaire

Toi le lynx ou le panda nain, dans quel que animal tu t'incarnes, je ne puis ignorer plus longtemps ton désespoir. Comprends aussi qu'au rythme où tu apparais dans ma vie de cheminot sur le quai de gare, tu deviens un rêve récurant où rater le train serait - pour le psychanaliste qui ne me connait pas encore - lié à une frustation d'avoir laissé passer une opportunité ou traduirait une colère contre sa propre inertie.
Donc il n'est plus temps de raccrocher les wagons que de partager enfin les miettes d'un union que nous savons tout deux inassouvie.
Rhaaa mon eusébio, mon chevalier de croc que j'en ai la dalle, reviens moi. Prends le premier express, gruge la file de voyageurs qui attendent dans le froid parisien un taxi improbable à une heure de pointe et viens à ta belle qui se morfond de ton absence

J'espère que ça sera un triptyque














































Non parc'que si ça devient le cercle des pseudo disparus mam zouillette
ça va pas le faire

Aller, chante avec moi

Sur la route de Breeeesteu y a des tas d'cailloux
avec une fourcheéééétteu on y fouille partout
des qu'on trouv'un osseu c'est pour l'basarguer
et pour faire la noceu dans les cabarets

tralala tralala lala
la la la la la léreu la léreu lala
wéééé












toute ressemblance avec un brestois fort truie serait un des pendants
de ma volonté

en même temps ma gratisse si c'est pour faire une critique facile
c'est p'têt pas le peine que tu te fendes pour écrire des saloperies hein...

Mon Zézèbe je serai imperméable à la critique qu'elle soit creusoise ou aveyronnaise, je m'en bats l'appareil génital.
Et alors l'agnelle de dieu suivra la route de son seigneur des neiges de Jérusalem à Grenoble. Elle donnera sa laine pour le protéger du froid, bêlera à l'approche du loup et croisera le fer pour défendre son honneur que certains belliqueux aimeraient bien bafouer.
Mon Zézèbe, il n'y a pas de plus ingrat que le jaloux méprisé. Prends ton putain de ticket au distributeur et ose ce que même Hannibal n'a pas osé : repasser les alpes dans l'autre sens pour voir si sa nana elle n'était pas aussi conne que Pénélope à faire et défaire un ouvrage qu'on sait même pas ce que c'était.

Tssss.... Le jaloux méprisé... Tout à fait moi ça....


L'Iznogoud d'idylles à mémé (bis)


Pénélope tissait
on présume qu'elle n'avait pas le coeur à l'ouvrage
elle devait faire du tissu mural uni, de la toile de peintre
de la moquette grise

mon Zézèbe,
heureux est le hasard qui hier me faisait mettre la mimine droite dans une poche d'un vieux sac que l'on me donnât ce week end. J'en retirai une carte d'un resto espagnol appelé "eusébio.." quelque chose.
'Croyable nan?
Et tout à coup je repris conscience, alors évanouie comme l'arc en ciel aussitôt apparu, de l'absurdité de cette situation.
Tu as vraiment tout du lapin, même le rendez vous donné mais jamais honoré. Et je me sens comme le dindon de la farce à foutre dans la femelle de celui dont je viens de parler.
Une question primordiale s'impose donc :

mais où sont donc entreprosées les michelines de mon enfance??

zouille a écrit:

mais où sont donc entreprosées les michelines de mon enfance??

Ah, les saintes chéries?




Private prehistorical joke

où est l'orient?

L'express?







What else?

Ah mais, mais... Je n'en demandais pas tant, attaché que j'étais à seulement retrouver le ton badin des chaleureux échanges de jadis, et à défendre la métaphorique intégrité d'un pelage, menacé par les blagues grasses et l'incontinence d'un ursidé mal identifié!
Du coup sur ce topic qui sent le caoutchouc brûlé, me v'là oublié sur la ligne de départ,le sprinteur distrait n'ayant pas entendu le pistolet et qui, encore dans les starting-blocks et déposé par ses adversaires, (zouille, moulinant des gambettes loin devant, tâlonnée par l'infâme gratosse qui perd du terrain...), se demande si ça vaut encore le coup de se lancer pour l'honneur ou la gagne ou pour épater ses concurrents par une absurde démonstration d'esprit sportif...

C'est que, ma zouille, dans la gare oubliée, ouverte aux quatre vents, où je viens de nuit placer mes pas perdus, les rares trains, chihiroesques, ne partent jamais que dans la direction opposée. Il faudra tourner le dos, viser l'étoile Polaire, hisser le baluchon à l'épaule, et mettre un soulier troué devant l'autre sur les voies abandonnées où entre pierres charbonneuses réussissent à percer quelques herbes mauvaises. Un nouveau "vagabond du rail", à la London; sais-tu, ô - non, je conterai peut-être ceci, de vive voix, dans la lumière criarde au-dessus du zinc? Je soutiendrai lenteur, fatigue, en augurant ce bonheur pour la dernière étape - mes mains mimant dans l'air, face au paysage ne changeant pas, les merveilles promises, m'attendant ou ne m'attendant plus dans la grande Ville, au loin là-bas. Je bercerai l'espoir d'un illusoire loco-stop, d'un improbable raccourci. Je connaîtrai les nuits froides, la solitude des bêtes sauvages, la saveur douce-amère des longs périples inutiles. Mon ticket, si tant est qu'il eût été valide, aura le temps de se périmer - date de validité dépassée. Me souviendrai-je encore de la douce musique d'un nom zézayant et du pourquoi lorsqu'hirsute et barbu, j'arriverai à mon terme.

rhaaa mes amants virtuels, prenez en de la graine, de la semence ou de la bouture
mais de grâce faites en le gabarit pour quelle que ébauche, esquisse, tentative, quel que croquis qui mène à l'émotion
et de là tirer l'intention qui compte, celle qui à l'addition vous fait payer le prix fort pour la chance d'avoir donner à l'autre le sentiment même fugitif d'avoir été percutée de plein coeur.
Ecoutez le maistre vous raconter l'illusion, vous berner, vous persuadant de son contraire, vous prouver l'existence de ce qui n'a jamais été et ne sera jamais.

Mon Eusébio, ne confonds pas le lièvre et le garenne, c'est là que je te piègerai. Kerouaque-donc comme les mages, rois, philosophes ou alchimistes, vers la grange aux belles et tout petit blanc museau que tu es, tu trouveras dans la paille la chaleur d'une noireaude ou d'une truie généreuse. Tu Compostelleras c'est sûr le billet à la bonne borne et ça vaut bien le "coup" de prendre la route rien que pour choper du bout des lèvres le goût indéfinissable mais délicieux d'avoir peut être à l'arrivée ce qui est peut être la réponse à ton errance.

https://www.youtube.com/watch?v=xdRElky_9-I



(ah enfin ça marche !!!...)

Peter Esteven a écrit:

https://www.youtube.com/watch?v=xdRElky_9-I



(ah enfin ça marche !!!...)

toi me cherche pas
sinon tu vas manger

mon zézèbe,
je me demandais si dans ton périple pédestre t'avais pas croisé les sans papiers qu'allaient dans ton sens?
Et pis je réfléchissais au lièvre et la tortue. La Fontaine là, il fumait pas des gros spliffs pour se taper ses délires??? Et l'autre là qui rave et piaille tout l'été et qu'a la dalle à la nowell.
Bon bref envois une carte quand tu passes Macon hein.

Moi je reste fidèle au post comme ji li disais à vertigo l'autre matin que j'étais bien lunée comme toujours, mais moins pleine que la veille.

cher mon tout court,
de rien
mais si quand même un peu. je retourne vers cher mon idylle qui est aux absents abonné. Drôle de forum où le quidam est un instantané pris au vif de temps en temps quand la connection en nombre est proche du mistral gagnant.

je l'aimais bien ce topic, triste topic où mon gémeau ne saurait croiser celui du cancer ou celui du capricorne.
Tu n'y viens plus me poutouner la rêverie en ton absence. Mon zézèbe, comment t'imaginer seul, lors que le blanc manteau de l'hiver s'annonce aux portes de ta vallée. Tu deviens lapin des neiges à nouveau sans qu'un jour de printemps prochain tu ne viennes fondre sous ma langue. Te préfèrerais je alors en civet où à la moutarde.. à moins qu'elle ne me monte au nez, d'être courroucée par privation, par abstinence...
celui là est à deux doigts d'y prétendre mais ces dents là rétracteraient l'hymen de la première vierge inconsciente qui voudraient lui caresser le poil dans le bon sens et bon endroit.
Dis tes dents elles sont bien derrière dedans ta bouche hein?

Comme dirait Bob : "frissons".