cher mon Salmoi

ah pas sur les chaines etzchiennes alors?

zouille a écrit:

ah pas sur les chaines etzchiennes alors?

Bien que des MegaHertz de vibrations ça incite à s'abonner, non ?
Mais pourquoi payer pour l'amour quand on est une Zouille prompte à attirer les galants
Comme de vulgaires mouches se demandant que créateur les a faites si vulgaires
Y'a surement une mouche, Apollinaire de l'amour, aux poils vibrants,
Avec des milliers de larmes au bord des ses yeux à facettes..
Écrases-moi, la tapette, qu'on en finisse...

salmo a écrit:

zouille a écrit:

ah pas sur les chaines etzchiennes alors?

Bien que des MegaHertz de vibrations ça incite à s'abonner, non ?
Mais pourquoi payer pour l'amour quand on est une Zouille prompte à attirer les galants
Comme de vulgaires mouches se demandant que créateur les a faites si vulgaires
Y'a surement une mouche, Apollinaire de l'amour, aux poils vibrants,
Avec des milliers de larmes au bord des ses yeux à facettes..
Écrases-moi, la tapette, qu'on en finisse...

attends attends tu me traiterais pas de merde à mouches, non tu ferais pas ça ? car grand serait ton péril en ma demeure
car je veux bien t'ouvrir grand mon intérieur dont Yvocheune et Bobby Society a bien tenté de refaire la déco, mais t'imagines bien que l'accueil serait à l'image du collant à nuisibles. Je te choperai toi et tes camarades, la paire d'insecte, aussi ridicules que bonnes à pondre des larves qui me monteraient bien aux yeux, pour la foutre au bout d'une ligne.. rien que pour voir ce qui coule au milieu de la rivière. Tu vois un peu l'approche ou définitivement tu préfères la tapette et je t'envois une autre paire de joyeux lurons pour te coller un ou deux quizz à pourrir ton week end.

Non point ma Zouille.
Loin de moi l'idée de te traiter.
J'évoquais plutôt la mouche sur ta bouche prête à mourir du bonheur d'être mortellement fessée...

Un sceau d'eau froide svp

Objet Du Désir a écrit:

Un sceau d'eau froide svp

où ça : dans ton slip ou sur ta tête ?!!!

sardi a écrit:

Objet Du Désir a écrit:

Un sceau d'eau froide svp

où ça : dans ton slip ou sur ta tête ?!!!

Les deux sont liés

Objet Du Désir a écrit:

sardi a écrit:

Objet Du Désir a écrit:

Un sceau d'eau froide svp

où ça : dans ton slip ou sur ta tête ?!!!

Les deux sont liés

ah oui, c'est vrai les mecs ont tous une bite à la place du cerveau

sardi a écrit:

Objet Du Désir a écrit:

sardi a écrit:

Objet Du Désir a écrit:

Un sceau d'eau froide svp

où ça : dans ton slip ou sur ta tête ?!!!

Les deux sont liés

ah oui, c'est vrai les mecs ont tous une bite à la place du cerveau

Du coup je bite rien à rien.

sardi a écrit:

ah oui, c'est vrai les mecs ont tous une bite à la place du cerveau

En jour il faudra bien leur dire aux meufs que cette croyance qui les fait fantasmer heurte notre sensibilité...

NON !!!! NON!!! ça traine, ça traine


Je me permets de remanier très légèrement votre texte
Voyez comme c'est plus direct....



Texte original

zouille a écrit:

salmo a écrit:

Bien que des MegaHertz de vibrations ça incite à s'abonner, non ?
Mais pourquoi payer pour l'amour quand on est une Zouille prompte à attirer les galants
Comme de vulgaires mouches se demandant que créateur les a faites si vulgaires
Y'a surement une mouche, Apollinaire de l'amour, aux poils vibrants,
Avec des milliers de larmes au bord des ses yeux à facettes..
Écrases-moi, la tapette, qu'on en finisse...

attends attends tu me traiterais pas de merde à mouches, non tu ferais pas ça ? car grand serait ton péril en ma demeure
car je veux bien t'ouvrir grand mon intérieur dont Yvocheune et Bobby Society a bien tenté de refaire la déco, mais t'imagines bien que l'accueil serait à l'image du collant à nuisibles. Je te choperai toi et tes camarades, la paire d'insecte, aussi ridicules que bonnes à pondre des larves qui me monteraient bien aux yeux, pour la foutre au bout d'une ligne.. rien que pour voir ce qui coule au milieu de la rivière. Tu vois un peu l'approche ou définitivement tu préfères la tapette et je t'envois une autre paire de joyeux lurons pour te coller un ou deux quizz à pourrir ton week end.

Texte revisité

zouille a écrit:

salmo a écrit:

Bien des vibrations incitent à s'abandonner

Mais pourquoi payer pour l'amour quand on est une Zouille prompte à attirer les galants aux poils vibrants...
Écrases-moi, tapette, qu'on en finisse...

attends attends tu me trairais pas ? non tu ferais pas ça ? car grand tu serais en ma demeure
je veux bien t'ouvrir mon intérieur
imagine bien que l'accueil serait à l'image du collant. Je te choperai la paire aussi ridicules que bonnes, tu me monterais, foutre au bout qui coule au milieu de la rivière. Tu vois, approche tapette et je t'envoies une autre paire de joyeuses pour te coller tout ton week end.

Vous trouvez pas qu'ça sonne mieux???

ah ouais, ça sonne bien !
Je prends..

salmo a écrit:

Non point ma Zouille.
Loin de moi l'idée de te traiter.
J'évoquais plutôt la mouche sur ta bouche prête à mourir du bonheur d'être mortellement fessée...

Visiblement, zouille n'est plus si jeune et serait alors devenue ruminante ralentie par le manque de force de la fin de vie. Peut être faudrait-il mieux la retraiter. Par les temps qui courent, on recycle, et les vieux sont des actifs. C'est pire que la peur de la mort de périr de la mort de pourrir tiens.

Cher mon Salmoi,
à l'occaze quand tu passeras me rendre tes hommages que j'ai peur d'avoir dommagés par quelque rebuffade, tu me feras une petite clef de bras au bidasse réservé comme la sauce de la pintade. Il me houspille la pré-ménaupose et ça me fout des bouffées que je me crois au sauna. Tu me diras c'est bon pour la peau y'a plus qu'à passer le gant pour enlever les peaux mortes... mais quand même c'est pas bien que le jeune il croit qu'il peut me traiter ou me re.
Oye bien petit Tarken que mon Salmoi peut révéler mon obscur penchant, celui vers lequel je peux tomber.
Sinon je lâche ODD et là mon petit tu vas avoir le temps de te rappeler qu'un jour t'as eu des ongles. ODD c'est le bourreau où j'aimerais bosser si je captais un poil plus comment il fonctionne, mon Ontrat à Durée Déterminée.

Cher mon Salmoi,
c'est ma journée correspondance, je viens de me torcher l'écriture de quelques 40 enveloppes que j'en ai le poignet tout tremblant que je vois pas trop comment il pourrait resservir dans la foulée. Clin d'oeil alourdi pas un sommeil trop désiré. Je me sentirais bien goguenarde mais je suis affaiblie et mon esprit se complet dans la soupe d'une chimie générique.
Te souhaite aussi un joyeux Nôel là bas où la terre se finit dans le sud. Et rappelle toi le père Noêl il a une meule, donc si tu veux affûter couteaux, répliques ou tout autre objet con-tendant, vas y profite c'est sa tournée.
Zouille Neige

Chère ma Zouille,
Tu me vois navré, n'étant plus cannibale, de te trouver barbotant dans ta marmite à bouillon de culture...
Jaloux de ces 40 amis méritant une bafouille de ta main, je les remercie cependant d'être la cause d'un poignet tremblotant toujours propice à sublimer les relations amoureuses, exception faite de celles trop virtuelles...
Je crains malheureusement de n'avoir pas été très sage cette année et donc de ne pas mériter la visite du bon Papa Noël...
Puisque tu encourages mes répliques con-tendantes et con-tordantes, je vais donc repousser encore un peu plus loin les limites autorisées au preux chevalier pour faire rougir sa princesse en des tresses. Le rouge te va si bien...

Noyons Joël ma Zouille !

zouille a écrit:

Merci de m'accueillir de tes deux bras ouverts telle l'aber avec le navigateur solitaire.
Puisses ton poignet n'être pas trop guéri !

pour l'heure je ne suis qu'un jusant

zouille a écrit:

pour l'heure je ne suis qu'un jusant

Qu'importe ! Remonter le courant est preuve de virilité.
De celle excitant la rivière qui sentant la force du Salmo-nidé
S'énerver à frôler ses sensibles rives herbées
Gémissant de bonheur sous les assauts de son vainqueur

Titillée, exaspérée, le ruisseau ouvrira
Ses flots écumeux en un lac circulaire
Où corps mort offert il subira en gémissant de bonheur,
Les assauts de son vainqueur

Cher mon dedans,
je t'ai baigné, décrassé mais ne compte pas que je t'astique, je suis pas d'humeur encore à me taper l'argenterie. Je te lustrerai bien au journal à me renoircir le bout des doigts mais vois tu les nouvelles du monde restent à ma porte. J'ai aimé ce chapitre du vase clos, parenthèses où les points suspendus se sont étirés comme des matous repus de paresse. Je m'étire, retrouvant doucement les places libres ou assignées, les laissant s'installer au gré de l'agitation et des retards. Bonsoir mon Salmoi, me revoilà. Sois indulgent si mes reprises en vol sont encore un peu molles, l'échauffement se fera au gré des manches.

Chère ma pas-dedans,
Te revoilà un poil molle mais vivante. Le vase clos tourne souvent au crachoir voir à l'urne funéraire. J'ai pas de costard noir à suivre les corbillards et préfère donc jouer au sale gosse pervers qui teste quel coup de pied fera chavirer le gros vase Ming première génération qu'on lui pardonnera jamais d'avoir brisé et qu'alors il-quittera-la-maison-pour-toujours-et-qu'on-sera-bien-emmerdés-alors.
C'est qu'une image, je te vois bien plus sexy qu'un gros vase, mais en gros dans l'idée c'est çà.
Comptes bien sur moi pour te secouer les grelots (je sais, dieu merci, tu n'as pas pas de grelots. QUOI !!!! T'AS DES GRELOTS... ) à t'échauffer la bilhaineuse et faire plein de tours à ton sang bien vivant.
Le rouge te vas si bien...

traite moi d'amphore t'es pas loin et sois bien content que j'y l'y garde les anses, c'est pratique pour prendre les choses en mains.
Habile ma bile acide qui ne demande qu'à remonter m'irriter le gosier mais que je vais noyer ce soir pour lui faire la part belle, celle d'un bain d'alcool où elle pourra nayader le temps de se rappeler demain à mon bon souvenir. Garce fidèle, accrochée à mes gru-mots, mes crus-maux, tapie là, attendant son repas dont elle sait pouvoir à tout moment me faire payer la note aigre et redoutable.
Arrggh, amie la bile, je te confies au sucs gastriques le temps d'une échappée, la tournée est pour moi

Je me suis vu un moment nageant dans tes sucs...
Balloté par tes contractions gastriques,

Je m'arrête la...
Pas envie de faire vomir tout le monde.
N'empêche que j'ai une tite érection là...
J'ai honte ?
Non !

je le savais ce transformer est le vice caché de ma perfection digestive

zouille a écrit:

je le savais ce transformer est le vice caché de ma perfection digestive

Puissse-je suivre ta digestion jusqu'au bout...
Et la remonter tel le salmonidé avec sa rivière...
Qui a dit beurk...???

Je t'attendais ce soir, roses rouges à la main, bien planqué col relevé sous la cochère, mais tu n'es pas venue.
J'avais les pieds qui clignotaient dans ces putains d'pompes neuves que la pluie rétrécissait.
Il en est passé des myriades de femmes au regard humide sous le parapluie.
Et puis il n'est plus passé que des chiens reniflant, à l'heure des poubelles.

Les premiers pétales sont venus, éperdus de pluie, se coller sur le bitume.
Alors je n'ai plus détaché mon regard de ce rouge-sur-noir
Où tu étais fleur et pluie, s'écoulant en sombres torrents
De moi et loin de moi, comme on jette le bébé et l'eau du bain.

Le rouge te vas si bien...

salmo a écrit:

Je t'attendais ce soir, roses rouges à la main, bien planqué col relevé sous la cochère, mais tu n'es pas venue.
J'avais les pieds qui clignotaient dans ces putains d'pompes neuves que la pluie rétrécissait.
Il en est passé des myriades de femmes au regard humide sous le parapluie.
Et puis il n'est plus passé que des chiens reniflant, à l'heure des poubelles.

Les premiers pétales sont venus, éperdus de pluie, se coller sur le bitume.
Alors je n'ai plus détaché mon regard de ce rouge-sur-noir
Où tu étais fleur et pluie, s'écoulant en sombres torrents
De moi et loin de moi, comme on jette le bébé et l'eau du bain.

Le rouge te vas si bien...

et au petit matin, j'ai vu la bruine pleurer, se cogner écarlate à ma fenêtre et je n'ai pas penser que des roses trop tôt coupées étaient la veille, mortes de chagrin.

Citation :

...des roses trop tôt coupées étaient la veille, mortes de chagrin

Hé ma Zouille... Le film se termine par un gros plan de pluie s'écoulant entre les pétales. quand, soudain, une petite graine de rose entrainée par le mini-flot, roule de bitume en caniveaux. Bientôt elle retrouve la lumière d'un lever de soleil sur l'océan à la sortie d'un égout. Aussitôt gloupée par un poisson, lui même vite avalé par un goéland, notre graine, bien au chaud au creux d'une déjection aviaire, retrouve la terre et fleuri à nouveau. Bien plus rouge que ton chagrin, ce rouge qui, comme d'hab, te va si bien...
Générique de fin.
Clap-clap.
"Putain de jambes ! c'est pas fait pour les grands ces cinémas...", etc, etc.

J'vais essayer de me planquer entre les fauteuils : la séance d'après c'est un porno...